20 ans après les caricatures de Mahomet : un retour sur les conséquences et les débats.

27769112lpw 27769113 mega une jpg 11434036

Ayant grandi au Danemark au début des années 2000, il est facile de considérer la liberté d’expression comme un droit acquis. Dans ce pays paisible, ancré dans des valeurs libérales et une démocratie laïque, s’exprimer librement semblait aussi naturel que de respirer. Rare étaient ceux qui remettaient en question cet état de fait, y compris les groupes religieux, dont l’influence s’était largement émoussée.

2005 : le choc Jyllands-Posten

Le déclencheur de cette réflexion remonte à il y a vingt ans jour pour jour. Le 30 septembre 2005, le quotidien danois Jyllands-Posten publiait un éditorial intitulé « Le visage de Mahomet », accompagné de douze caricatures, dont certaines représentaient le prophète. Cette publication allait provoquer une tempête mondiale et métamorphoser le débat autour de l’islam en un champ de mines où la critique devenait de plus en plus délicate.

La newsletter débats et opinions

Tous les vendredis à 7h30

Recevez notre sélection d’articles de notre rubrique Débats, pour comprendre les réels enjeux du monde d’aujourd’hui et de notre société.

Merci !
Votre inscription a bien été prise en compte avec l’adresse email :

Pour découvrir toutes nos autres newsletters, rendez-vous ici : MonCompte

En vous inscrivant, vous acceptez les conditions générales d’utilisation et notre politique de confidentialité.

Quitter la version mobile