En quête de son étoile, le PSG défie l’Inter Milan, samedi 31 mai, en finale de la Ligue des champions.
Comme un clin d’œil à l’OM en 1993, c’est face à un club milanais, à Munich, que le club de la capitale va disputer le plus grand match de son histoire.
Motif d’espoir : chacune des quatre finales de C1 que Munich a accueillie a couronné un champion inédit.
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Ligue des champions 2024-2025 : le PSG en finale
Si vous supportez le PSG et êtes superstitieux, vous y verrez peut-être un signe. Pour la cinquième fois de l’histoire, après 1979, 1993, 1997 et 2012, Munich va accueillir la finale de la Ligue des champions, samedi 31 mai (à 21h, en live commenté sur TF1info). À quatre reprises, la capitale bavaroise a vu un club qui n’avait jamais eu la joie de soulever « la Coupe aux grandes oreilles ».
Après Nottingham Forest en 1979 (1-0 face à Malmö), l’OM en 1993 (1-0 contre l’AC Milan), le Borussia Dortmund en 1997 (3-1 face à la Juventus Turin) et Chelsea en 2012 (1-1 a.p, 3-4 t.a.b contre le Bayern Munich), Munich 2025 devrait, si la série se poursuit, couronner le club parisien.
Dans les pas de l’OM de 93
Contrairement à son adversaire nerazzuro, titré à trois reprises en 1964, 1965 et 2010, le club de la capitale n’a pas encore connu le bonheur de remporter la plus prestigieuse des Coupes d’Europe. De quoi entrevoir la possibilité d’un premier sacre européen pour les champions de France, cinq ans après avoir buté sur l’ultime obstacle du Bayern Munich.
En cas de victoire, le PSG serait alors le quatrième des cinq derniers « néo-vainqueurs » à triompher en Bavière, depuis le passage à l’appellation Ligue des champions en 1992. Depuis cette date, la seule exception est Manchester City, titré pour la toute première fois à Istanbul en 2023.
𝗟𝗘 𝗗𝗘𝗦𝗧𝗜𝗡 𝗗𝗨 𝗣𝗔𝗥𝗜𝗦 𝗦𝗔𝗜𝗡𝗧-𝗚𝗘𝗥𝗠𝗔𝗜𝗡 𝗦’𝗘́𝗖𝗥𝗜𝗥𝗔 𝗔̀ 𝗠𝗨𝗡𝗜𝗖𝗛 𝗘𝗧… 𝗖’𝗘𝗦𝗧 𝗧𝗥𝗘̀𝗦 𝗕𝗢𝗡 𝗦𝗜𝗚𝗡𝗘 ❤️💙 Les quatre finales de la LDC à Munich… 𝗢𝗡𝗧 𝗩𝗨 𝗗𝗘𝗦 𝗘́𝗤𝗨𝗜𝗣𝗘𝗦 𝗥𝗘𝗠𝗣𝗢𝗥𝗧𝗘𝗥 𝗟𝗘𝗨𝗥 𝗣𝗥𝗘𝗠𝗜𝗘𝗥 𝗧𝗜𝗧𝗥𝗘 🤩… pic.twitter.com/FOnu0ilmf3 — Actu Foot (@ActuFoot_) May 7, 2025
À ce bon présage munichois pour le PSG s’ajoute des parallèles troublants avec le sacre européen du rival marseillais. Comme l’équipe de Bernard Tapie, Paris va disputer une finale à Munich. Comme les Marseillais, les hommes de Luis Enrique, qui a gagné ses 10 finales disputées sur un match sec en tant qu’entraîneur de club, vont affronter un club de Milan. Comme l’OM, qui a trébuché en 1991 avant de triompher deux ans plus tard, la bande de Marquinhos joue une deuxième finale après un premier échec.
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Autant de signes du passé qui laissent espérer un dénouement tout aussi heureux. Et que Munich reste un lieu qui porte-bonheur aux novices… et aux clubs français.