Vladimir Poutine, héritier de l’art soviétique de la négociation

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« C e qui est à nous est à nous, ce qui est à vous se négocie. » Cette phrase attribuée à Staline, souvent perçue comme une boutade, pourrait s’appliquer au faux échange russo-ukrainien de territoires proposé par Poutine lors de ses discussions avec Donald Trump.

Poutine n’a rien à céder – ou si peu, 440 kilomètres carrés près de Kharkiv – et n’entend discuter que des territoires du Donbass – 6 600 kilomètres carrés – qui manquent à sa stratégie militaire actuelle. Depuis 2022, on a souvent placé le chef du Kremlin dans la continuité de diverses traditions : formation d’espion tchékiste, usage des guerres hybrides, nostalgie de la grandeur russe et soviétique, mépris inconditionnel de l’Occident et de ses pratiques démocratiques. Aujourd’hui, la situation a évolué…

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