Lorsque les tireurs d’élite du RAID et du GIGN manquent de munitions pour s’entraîner.

27726291lpw 27726360 mega une jpg 11342915

Ils sont formidables. Motivés, compétents, disponibles, surentraînés. Dans son rapport sur les « Unités d’élite de la police et de la gendarmerie », remis au Sénat le 2 juillet, le sénateur LR Bruno Belin (Vienne) ne tarit pas d’éloges sur le Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), le groupe Recherche, assistance, intervention, dissuasion de la police nationale (Raid) ainsi que la Brigade de recherche et d’intervention de la préfecture de police de Paris (BRI-PP).

« Ces professionnels prennent leurs vacances près de chez eux pour rester disponibles en cas de besoin », résume le sénateur. Et quand il faut foncer, ils foncent. Le sénateur se souvient d’un Joué-les-Tours-Clermont-Ferrand avalé à la vitesse de l’éclair avec le GIGN : 330 kilomètres en moins d’une heure.

Le point du soir

Tous les soirs à partir de 18h

Recevez l’information analysée et décryptée par la rédaction du Point.

Merci !
Votre inscription a bien été prise en compte avec l’adresse email :

Pour découvrir toutes nos autres newsletters, rendez-vous ici : MonCompte

En vous inscrivant, vous acceptez les conditions générales d’utilisation et notre politique de confidentialité.

Quitter la version mobile