Le constat est brutal. L’espérance de vie des personnes souffrant de troubles psychiatriques est réduite de quinze ans en moyenne par rapport à la population générale. Contrairement à une idée tenace, les suicides et les morts violentes ne sont pas la première cause des décès, même s’ils sont surreprésentés.
Comme dans le reste de la population, les cancers et les maladies cardiovasculaires sont en haut de la liste. « Mais ces patients en meurent plus tôt », pointe Coralie Gandré, docteure en santé publique à l’Institut de recherche et de documentation en économie de la santé (Irdes). La faute à un parcours de soins semé d’embûches.
Prévalence plus élevée de pathologies chroniques
Il aura ainsi fallu plusieurs années de souffrances avant qu’Elsa, 41 ans, diagnostiquée bipolaire, se fasse enfin…
Le constat est brutal. L’espérance de vie des personnes souffrant de troubles psychiatriques est réduite de quinze ans en moyenne par rapport à la population générale. Contrairement à une idée tenace, les suicides et les morts violentes ne sont pas la première cause des décès, même s’ils sont surreprésentés.
Comme dans le reste de la population, les cancers et les maladies cardiovasculaires sont en haut de la liste. « Mais ces patients en meurent plus tôt », pointe Coralie Gandré, docteure en santé publique à l’Institut de recherche et de documentation en économie de la santé (Irdes). La faute à un parcours de soins semé d’embûches.
Prévalence plus élevée de pathologies chroniques
Il aura ainsi fallu plusieurs années de souffrances avant qu’Elsa, 41 ans, diagnostiquée bipolaire, se fasse enfin…
Le constat est brutal. L’espérance de vie des personnes souffrant de troubles psychiatriques est réduite de quinze ans en moyenne par rapport à la population générale. Contrairement à une idée tenace, les suicides et les morts violentes ne sont pas la première cause des décès, même s’ils sont surreprésentés.
Comme dans le reste de la population, les cancers et les maladies cardiovasculaires sont en haut de la liste. « Mais ces patients en meurent plus tôt », pointe Coralie Gandré, docteure en santé publique à l’Institut de recherche et de documentation en économie de la santé (Irdes). La faute à un parcours de soins semé d’embûches.
Prévalence plus élevée de pathologies chroniques
Il aura ainsi fallu plusieurs années de souffrances avant qu’Elsa, 41 ans, diagnostiquée bipolaire, se fasse enfin…
Le constat est brutal. L’espérance de vie des personnes souffrant de troubles psychiatriques est réduite de quinze ans en moyenne par rapport à la population générale. Contrairement à une idée tenace, les suicides et les morts violentes ne sont pas la première cause des décès, même s’ils sont surreprésentés.
Comme dans le reste de la population, les cancers et les maladies cardiovasculaires sont en haut de la liste. « Mais ces patients en meurent plus tôt », pointe Coralie Gandré, docteure en santé publique à l’Institut de recherche et de documentation en économie de la santé (Irdes). La faute à un parcours de soins semé d’embûches.
Prévalence plus élevée de pathologies chroniques
Il aura ainsi fallu plusieurs années de souffrances avant qu’Elsa, 41 ans, diagnostiquée bipolaire, se fasse enfin…