Six mois que l’écrivain Boualem Sansal est en prison. Le régime d’Alger, sorte de dictature bottée ayant fusionné avec ses anciens ennemis islamistes, a de nombreuses raisons de lui en vouloir : son entêtement malséant à dire et à écrire ce qu’il pense, son talent, qui donne de l’écho à ses propos, et son courage, qui donne le mauvais exemple. Les autocraties, c’est connu, deviennent plus cruelles encore à mesure qu’elles s’affaiblissent. Celle d’Alger ne fait pas exception, personne ne s’en étonnera.
Mais chez nous, que se passe-t-il ? La captivité de Sansal suscite, bien sûr, de l’émotion, mais pas autant qu’il le faudrait. Celle-ci, surtout, n’est pas unanime : il s’est tout de même trouvé 28 députés, à l’Assemblée nationale, pour voter contre une résolution appelant à sa libération…
Six mois que l’écrivain Boualem Sansal est en prison. Le régime d’Alger, sorte de dictature bottée ayant fusionné avec ses anciens ennemis islamistes, a de nombreuses raisons de lui en vouloir : son entêtement malséant à dire et à écrire ce qu’il pense, son talent, qui donne de l’écho à ses propos, et son courage, qui donne le mauvais exemple. Les autocraties, c’est connu, deviennent plus cruelles encore à mesure qu’elles s’affaiblissent. Celle d’Alger ne fait pas exception, personne ne s’en étonnera.
Mais chez nous, que se passe-t-il ? La captivité de Sansal suscite, bien sûr, de l’émotion, mais pas autant qu’il le faudrait. Celle-ci, surtout, n’est pas unanime : il s’est tout de même trouvé 28 députés, à l’Assemblée nationale, pour voter contre une résolution appelant à sa libération…
Six mois que l’écrivain Boualem Sansal est en prison. Le régime d’Alger, sorte de dictature bottée ayant fusionné avec ses anciens ennemis islamistes, a de nombreuses raisons de lui en vouloir : son entêtement malséant à dire et à écrire ce qu’il pense, son talent, qui donne de l’écho à ses propos, et son courage, qui donne le mauvais exemple. Les autocraties, c’est connu, deviennent plus cruelles encore à mesure qu’elles s’affaiblissent. Celle d’Alger ne fait pas exception, personne ne s’en étonnera.
Mais chez nous, que se passe-t-il ? La captivité de Sansal suscite, bien sûr, de l’émotion, mais pas autant qu’il le faudrait. Celle-ci, surtout, n’est pas unanime : il s’est tout de même trouvé 28 députés, à l’Assemblée nationale, pour voter contre une résolution appelant à sa libération…
Six mois que l’écrivain Boualem Sansal est en prison. Le régime d’Alger, sorte de dictature bottée ayant fusionné avec ses anciens ennemis islamistes, a de nombreuses raisons de lui en vouloir : son entêtement malséant à dire et à écrire ce qu’il pense, son talent, qui donne de l’écho à ses propos, et son courage, qui donne le mauvais exemple. Les autocraties, c’est connu, deviennent plus cruelles encore à mesure qu’elles s’affaiblissent. Celle d’Alger ne fait pas exception, personne ne s’en étonnera.
Mais chez nous, que se passe-t-il ? La captivité de Sansal suscite, bien sûr, de l’émotion, mais pas autant qu’il le faudrait. Celle-ci, surtout, n’est pas unanime : il s’est tout de même trouvé 28 députés, à l’Assemblée nationale, pour voter contre une résolution appelant à sa libération…