Après la publication d’un rapport-bilan sur l’expérimentation de l’encadrement des loyers, les élus locaux, assistés de parlementaires et de la Fondation pour le Logement, militent pour sa pérennisation. Le ministère du Logement renvoie la décision à la fin de l’année.

Selon la Fondation pour le Logement, dans les 72 villes appliquant l’encadrement des loyers, les annonces immobilières ne le respectant pas sont passées de 32 % en 2022 à 28 % en 2024. JEAN-MARC BARRERE / HANS LUCAS VIA AFP
Analyse
Chaque année, c’est la même rengaine. En ouvrant sa boîte aux lettres, Fiona reçoit un courrier de ses propriétaires lui notifiant l’augmentation du loyer de son appartement. Situé dans le convoité 11ᵉ arrondissement de Paris, le trois-pièces qu’elle partage avec ses deux colocs est de plus en plus cher : en trois ans, le loyer est passé de 1 956 euros par mois à près de 2 400 euros. « Ce n’est pas normal », se dit-elle en vérifiant sur le site de la mairie de Paris si la somme due respecte bien l’encadrement des loyers. Et effectivement, Fiona constate un dépassement mensuel de 173 euros. Avec ses deux colocataires, elles décident alors de se battre pour faire baisser le loyer et récupérer les sommes trop-perçues. Avec un seul objectif en tête : « Faire valoir nos droits. »
Les jeunes femmes âgées d’une vingtaine d’années se lancent dans une chaotique commission de conciliation avec les propriétaires. Le succès est mitigé : « Le loyer a été régularisé mais les propriétaires ne voulaient pas payer le trop-perçu. » Alors la mairie de Paris a repris la main sur le dossier. Fiona ne connaît pas la teneur des échanges. Ce qu’elle sait c’est qu’un matin elle a reçu un courrier qui, cette fois-ci, lui indiquait le remboursement…
Après la publication d’un rapport-bilan sur l’expérimentation de l’encadrement des loyers, les élus locaux, assistés de parlementaires et de la Fondation pour le Logement, militent pour sa pérennisation. Le ministère du Logement renvoie la décision à la fin de l’année.

Selon la Fondation pour le Logement, dans les 72 villes appliquant l’encadrement des loyers, les annonces immobilières ne le respectant pas sont passées de 32 % en 2022 à 28 % en 2024. JEAN-MARC BARRERE / HANS LUCAS VIA AFP
Analyse
Chaque année, c’est la même rengaine. En ouvrant sa boîte aux lettres, Fiona reçoit un courrier de ses propriétaires lui notifiant l’augmentation du loyer de son appartement. Situé dans le convoité 11ᵉ arrondissement de Paris, le trois-pièces qu’elle partage avec ses deux colocs est de plus en plus cher : en trois ans, le loyer est passé de 1 956 euros par mois à près de 2 400 euros. « Ce n’est pas normal », se dit-elle en vérifiant sur le site de la mairie de Paris si la somme due respecte bien l’encadrement des loyers. Et effectivement, Fiona constate un dépassement mensuel de 173 euros. Avec ses deux colocataires, elles décident alors de se battre pour faire baisser le loyer et récupérer les sommes trop-perçues. Avec un seul objectif en tête : « Faire valoir nos droits. »
Les jeunes femmes âgées d’une vingtaine d’années se lancent dans une chaotique commission de conciliation avec les propriétaires. Le succès est mitigé : « Le loyer a été régularisé mais les propriétaires ne voulaient pas payer le trop-perçu. » Alors la mairie de Paris a repris la main sur le dossier. Fiona ne connaît pas la teneur des échanges. Ce qu’elle sait c’est qu’un matin elle a reçu un courrier qui, cette fois-ci, lui indiquait le remboursement…
Après la publication d’un rapport-bilan sur l’expérimentation de l’encadrement des loyers, les élus locaux, assistés de parlementaires et de la Fondation pour le Logement, militent pour sa pérennisation. Le ministère du Logement renvoie la décision à la fin de l’année.

Selon la Fondation pour le Logement, dans les 72 villes appliquant l’encadrement des loyers, les annonces immobilières ne le respectant pas sont passées de 32 % en 2022 à 28 % en 2024. JEAN-MARC BARRERE / HANS LUCAS VIA AFP
Analyse
Chaque année, c’est la même rengaine. En ouvrant sa boîte aux lettres, Fiona reçoit un courrier de ses propriétaires lui notifiant l’augmentation du loyer de son appartement. Situé dans le convoité 11ᵉ arrondissement de Paris, le trois-pièces qu’elle partage avec ses deux colocs est de plus en plus cher : en trois ans, le loyer est passé de 1 956 euros par mois à près de 2 400 euros. « Ce n’est pas normal », se dit-elle en vérifiant sur le site de la mairie de Paris si la somme due respecte bien l’encadrement des loyers. Et effectivement, Fiona constate un dépassement mensuel de 173 euros. Avec ses deux colocataires, elles décident alors de se battre pour faire baisser le loyer et récupérer les sommes trop-perçues. Avec un seul objectif en tête : « Faire valoir nos droits. »
Les jeunes femmes âgées d’une vingtaine d’années se lancent dans une chaotique commission de conciliation avec les propriétaires. Le succès est mitigé : « Le loyer a été régularisé mais les propriétaires ne voulaient pas payer le trop-perçu. » Alors la mairie de Paris a repris la main sur le dossier. Fiona ne connaît pas la teneur des échanges. Ce qu’elle sait c’est qu’un matin elle a reçu un courrier qui, cette fois-ci, lui indiquait le remboursement…
Après la publication d’un rapport-bilan sur l’expérimentation de l’encadrement des loyers, les élus locaux, assistés de parlementaires et de la Fondation pour le Logement, militent pour sa pérennisation. Le ministère du Logement renvoie la décision à la fin de l’année.

Selon la Fondation pour le Logement, dans les 72 villes appliquant l’encadrement des loyers, les annonces immobilières ne le respectant pas sont passées de 32 % en 2022 à 28 % en 2024. JEAN-MARC BARRERE / HANS LUCAS VIA AFP
Analyse
Chaque année, c’est la même rengaine. En ouvrant sa boîte aux lettres, Fiona reçoit un courrier de ses propriétaires lui notifiant l’augmentation du loyer de son appartement. Situé dans le convoité 11ᵉ arrondissement de Paris, le trois-pièces qu’elle partage avec ses deux colocs est de plus en plus cher : en trois ans, le loyer est passé de 1 956 euros par mois à près de 2 400 euros. « Ce n’est pas normal », se dit-elle en vérifiant sur le site de la mairie de Paris si la somme due respecte bien l’encadrement des loyers. Et effectivement, Fiona constate un dépassement mensuel de 173 euros. Avec ses deux colocataires, elles décident alors de se battre pour faire baisser le loyer et récupérer les sommes trop-perçues. Avec un seul objectif en tête : « Faire valoir nos droits. »
Les jeunes femmes âgées d’une vingtaine d’années se lancent dans une chaotique commission de conciliation avec les propriétaires. Le succès est mitigé : « Le loyer a été régularisé mais les propriétaires ne voulaient pas payer le trop-perçu. » Alors la mairie de Paris a repris la main sur le dossier. Fiona ne connaît pas la teneur des échanges. Ce qu’elle sait c’est qu’un matin elle a reçu un courrier qui, cette fois-ci, lui indiquait le remboursement…