Après avoir abandonné brutalement la direction de Renault en juin, Luca de Meo a donné quelques explications pour ne pas désespérer Billancourt.
Après avoir abandonné brutalement la direction de Renault en juin, Luca de Meo a donné quelques explications pour ne pas désespérer Billancourt. S’il part dans l’univers du luxe – pour prendre la tête du groupe Kering avec ses marques Gucci ou Saint Laurent –, c’est parce qu’il commençait à tourner en rond dans celui de l’auto. Mais est-ce bien la véritable histoire ? Impossible de croire que les défis posés à un groupe comme Renault ne soient pas capables de stimuler un vieux routard comme lui… sauf s’il pense que le premier secteur industriel européen est condamné à un déclin inéluctable.
Les signes de la déroute sont nombreux. D’abord, la reculade commerciale. Depuis cinq ans, les ventes de véhicules baissent dans toute l’Europe d’environ 20 %, soit, rien qu’en France, 500 000 voitures neuves en moins par an. Pourquoi cette désaffection ? D’abord, le prix des voitures a augmenté fortement. À cause des nouvelles normes imposées par Bruxelles pour augmenter la sécurité des passagers et lutter contre la pollution. Mais aussi parce …
Après avoir abandonné brutalement la direction de Renault en juin, Luca de Meo a donné quelques explications pour ne pas désespérer Billancourt.
Après avoir abandonné brutalement la direction de Renault en juin, Luca de Meo a donné quelques explications pour ne pas désespérer Billancourt. S’il part dans l’univers du luxe – pour prendre la tête du groupe Kering avec ses marques Gucci ou Saint Laurent –, c’est parce qu’il commençait à tourner en rond dans celui de l’auto. Mais est-ce bien la véritable histoire ? Impossible de croire que les défis posés à un groupe comme Renault ne soient pas capables de stimuler un vieux routard comme lui… sauf s’il pense que le premier secteur industriel européen est condamné à un déclin inéluctable.
Les signes de la déroute sont nombreux. D’abord, la reculade commerciale. Depuis cinq ans, les ventes de véhicules baissent dans toute l’Europe d’environ 20 %, soit, rien qu’en France, 500 000 voitures neuves en moins par an. Pourquoi cette désaffection ? D’abord, le prix des voitures a augmenté fortement. À cause des nouvelles normes imposées par Bruxelles pour augmenter la sécurité des passagers et lutter contre la pollution. Mais aussi parce …
Après avoir abandonné brutalement la direction de Renault en juin, Luca de Meo a donné quelques explications pour ne pas désespérer Billancourt.
Après avoir abandonné brutalement la direction de Renault en juin, Luca de Meo a donné quelques explications pour ne pas désespérer Billancourt. S’il part dans l’univers du luxe – pour prendre la tête du groupe Kering avec ses marques Gucci ou Saint Laurent –, c’est parce qu’il commençait à tourner en rond dans celui de l’auto. Mais est-ce bien la véritable histoire ? Impossible de croire que les défis posés à un groupe comme Renault ne soient pas capables de stimuler un vieux routard comme lui… sauf s’il pense que le premier secteur industriel européen est condamné à un déclin inéluctable.
Les signes de la déroute sont nombreux. D’abord, la reculade commerciale. Depuis cinq ans, les ventes de véhicules baissent dans toute l’Europe d’environ 20 %, soit, rien qu’en France, 500 000 voitures neuves en moins par an. Pourquoi cette désaffection ? D’abord, le prix des voitures a augmenté fortement. À cause des nouvelles normes imposées par Bruxelles pour augmenter la sécurité des passagers et lutter contre la pollution. Mais aussi parce …
Après avoir abandonné brutalement la direction de Renault en juin, Luca de Meo a donné quelques explications pour ne pas désespérer Billancourt.
Après avoir abandonné brutalement la direction de Renault en juin, Luca de Meo a donné quelques explications pour ne pas désespérer Billancourt. S’il part dans l’univers du luxe – pour prendre la tête du groupe Kering avec ses marques Gucci ou Saint Laurent –, c’est parce qu’il commençait à tourner en rond dans celui de l’auto. Mais est-ce bien la véritable histoire ? Impossible de croire que les défis posés à un groupe comme Renault ne soient pas capables de stimuler un vieux routard comme lui… sauf s’il pense que le premier secteur industriel européen est condamné à un déclin inéluctable.
Les signes de la déroute sont nombreux. D’abord, la reculade commerciale. Depuis cinq ans, les ventes de véhicules baissent dans toute l’Europe d’environ 20 %, soit, rien qu’en France, 500 000 voitures neuves en moins par an. Pourquoi cette désaffection ? D’abord, le prix des voitures a augmenté fortement. À cause des nouvelles normes imposées par Bruxelles pour augmenter la sécurité des passagers et lutter contre la pollution. Mais aussi parce …