Comme lors des deux années précédentes, l’automne 2025 marque le retour du Covid-19 dans les conversations. Les masques réapparaissent sur le visage de quelques passants dans la rue ou dans les transports. Autour de la machine à café, des collègues de bureau racontent leurs séjours passés « au fond du lit pendant trois jours ».
Alors que le virus n’a jamais cessé de circuler à bas bruit dans la population, la multiplication des cas depuis quelques semaines s’accompagne d’une pointe d’inquiétude liée au surnom dont le nouveau variant en circulation est affublé : « Frankenstein ». Le patronyme, apparu dans la presse anglo-saxonne et sur les réseaux sociaux depuis le début de l’été, fait froid dans le dos.
Aucun scientifique ne l’appelle « Frankenstein ». C’est du cinéma pour se faire peur !
Pr…
Comme lors des deux années précédentes, l’automne 2025 marque le retour du Covid-19 dans les conversations. Les masques réapparaissent sur le visage de quelques passants dans la rue ou dans les transports. Autour de la machine à café, des collègues de bureau racontent leurs séjours passés « au fond du lit pendant trois jours ».
Alors que le virus n’a jamais cessé de circuler à bas bruit dans la population, la multiplication des cas depuis quelques semaines s’accompagne d’une pointe d’inquiétude liée au surnom dont le nouveau variant en circulation est affublé : « Frankenstein ». Le patronyme, apparu dans la presse anglo-saxonne et sur les réseaux sociaux depuis le début de l’été, fait froid dans le dos.
Aucun scientifique ne l’appelle « Frankenstein ». C’est du cinéma pour se faire peur !
Pr…
Comme lors des deux années précédentes, l’automne 2025 marque le retour du Covid-19 dans les conversations. Les masques réapparaissent sur le visage de quelques passants dans la rue ou dans les transports. Autour de la machine à café, des collègues de bureau racontent leurs séjours passés « au fond du lit pendant trois jours ».
Alors que le virus n’a jamais cessé de circuler à bas bruit dans la population, la multiplication des cas depuis quelques semaines s’accompagne d’une pointe d’inquiétude liée au surnom dont le nouveau variant en circulation est affublé : « Frankenstein ». Le patronyme, apparu dans la presse anglo-saxonne et sur les réseaux sociaux depuis le début de l’été, fait froid dans le dos.
Aucun scientifique ne l’appelle « Frankenstein ». C’est du cinéma pour se faire peur !
Pr…
Comme lors des deux années précédentes, l’automne 2025 marque le retour du Covid-19 dans les conversations. Les masques réapparaissent sur le visage de quelques passants dans la rue ou dans les transports. Autour de la machine à café, des collègues de bureau racontent leurs séjours passés « au fond du lit pendant trois jours ».
Alors que le virus n’a jamais cessé de circuler à bas bruit dans la population, la multiplication des cas depuis quelques semaines s’accompagne d’une pointe d’inquiétude liée au surnom dont le nouveau variant en circulation est affublé : « Frankenstein ». Le patronyme, apparu dans la presse anglo-saxonne et sur les réseaux sociaux depuis le début de l’été, fait froid dans le dos.
Aucun scientifique ne l’appelle « Frankenstein ». C’est du cinéma pour se faire peur !
Pr…











