1945 à Yalta : En route pour un nouvel ordre mondial
Parti douze jours plus tôt de Virginie, à bord du croiseur « Quincy », le président Roosevelt arrive le 3 février 1945 à Yalta, au palais Livadia, l’ancienne résidence d’été du tsar Nicolas II.

De gauche à droite, Churchill, Roosevelt et Staline à Yalta, le 4 février 1945. THE NATIONAL ARCHIVES
Roosevelt a déjà rencontré Staline et Churchill à la fin de 1943, à Téhéran. Il s’agissait de coordonner leurs efforts militaires. Mais, au cours de l’année 1944, les avancées russes sur le front de l’Est et les débarquements alliés en Normandie, puis en Provence, ne laissent guère de doute quant à l’issue de la guerre. La présence des Soviétiques à 80 kilomètres de Berlin, alors que les Anglo-Américains n’ont pas encore atteint le Rhin, rend urgente la nécessité d’une médiation.
Roosevelt est arrivé accompagné de Churchill, après une escale à Malte, et d’un vol secret qui les a menés à l’aéroport de Saki, à proximité de Yalta. À leur arrivée, la situation est tendue, avec deux divisions russes déployées dans la région et des craintes d’une opération d’assassinat orchestrée par Hitler pour éliminer les trois dirigeants.
1945 à Yalta : En route pour un nouvel ordre mondial
Parti douze jours plus tôt de Virginie, à bord du croiseur « Quincy », le président Roosevelt arrive le 3 février 1945 à Yalta, au palais Livadia, l’ancienne résidence d’été du tsar Nicolas II.

De gauche à droite, Churchill, Roosevelt et Staline à Yalta, le 4 février 1945. THE NATIONAL ARCHIVES
Roosevelt a déjà rencontré Staline et Churchill à la fin de 1943, à Téhéran. Il s’agissait de coordonner leurs efforts militaires. Mais, au cours de l’année 1944, les avancées russes sur le front de l’Est et les débarquements alliés en Normandie, puis en Provence, ne laissent guère de doute quant à l’issue de la guerre. La présence des Soviétiques à 80 kilomètres de Berlin, alors que les Anglo-Américains n’ont pas encore atteint le Rhin, rend urgente la nécessité d’une médiation.
Roosevelt est arrivé accompagné de Churchill, après une escale à Malte, et d’un vol secret qui les a menés à l’aéroport de Saki, à proximité de Yalta. À leur arrivée, la situation est tendue, avec deux divisions russes déployées dans la région et des craintes d’une opération d’assassinat orchestrée par Hitler pour éliminer les trois dirigeants.
1945 à Yalta : En route pour un nouvel ordre mondial
Parti douze jours plus tôt de Virginie, à bord du croiseur « Quincy », le président Roosevelt arrive le 3 février 1945 à Yalta, au palais Livadia, l’ancienne résidence d’été du tsar Nicolas II.

De gauche à droite, Churchill, Roosevelt et Staline à Yalta, le 4 février 1945. THE NATIONAL ARCHIVES
Roosevelt a déjà rencontré Staline et Churchill à la fin de 1943, à Téhéran. Il s’agissait de coordonner leurs efforts militaires. Mais, au cours de l’année 1944, les avancées russes sur le front de l’Est et les débarquements alliés en Normandie, puis en Provence, ne laissent guère de doute quant à l’issue de la guerre. La présence des Soviétiques à 80 kilomètres de Berlin, alors que les Anglo-Américains n’ont pas encore atteint le Rhin, rend urgente la nécessité d’une médiation.
Roosevelt est arrivé accompagné de Churchill, après une escale à Malte, et d’un vol secret qui les a menés à l’aéroport de Saki, à proximité de Yalta. À leur arrivée, la situation est tendue, avec deux divisions russes déployées dans la région et des craintes d’une opération d’assassinat orchestrée par Hitler pour éliminer les trois dirigeants.
1945 à Yalta : En route pour un nouvel ordre mondial
Parti douze jours plus tôt de Virginie, à bord du croiseur « Quincy », le président Roosevelt arrive le 3 février 1945 à Yalta, au palais Livadia, l’ancienne résidence d’été du tsar Nicolas II.

De gauche à droite, Churchill, Roosevelt et Staline à Yalta, le 4 février 1945. THE NATIONAL ARCHIVES
Roosevelt a déjà rencontré Staline et Churchill à la fin de 1943, à Téhéran. Il s’agissait de coordonner leurs efforts militaires. Mais, au cours de l’année 1944, les avancées russes sur le front de l’Est et les débarquements alliés en Normandie, puis en Provence, ne laissent guère de doute quant à l’issue de la guerre. La présence des Soviétiques à 80 kilomètres de Berlin, alors que les Anglo-Américains n’ont pas encore atteint le Rhin, rend urgente la nécessité d’une médiation.
Roosevelt est arrivé accompagné de Churchill, après une escale à Malte, et d’un vol secret qui les a menés à l’aéroport de Saki, à proximité de Yalta. À leur arrivée, la situation est tendue, avec deux divisions russes déployées dans la région et des craintes d’une opération d’assassinat orchestrée par Hitler pour éliminer les trois dirigeants.