Voici un tour d’horizon des dernières mises à jour et de tout ce que vous devez savoir pour naviguer dans le deuxième mandat de Trump :
Tous les regards sont tournés vers la DEI :
Les programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI) font face à une opposition croissante à travers les États-Unis et ont été placés sous surveillance officielle au sein du gouvernement fédéral.
Adoptés dans les années 1960 et intensifiés à la suite des manifestations à travers les États-Unis après le meurtre en 2020 de George Floyd, un homme noir non armé tué par la police à Minneapolis, ces programmes visent à faire en sorte que les femmes et les groupes minoritaires ne subissent pas de discrimination sur le lieu de travail et qu’ils aient la possibilité d’obtenir des emplois et des promotions.
Mais cela est sur le point de changer. Mercredi, Trump a ordonné aux chefs d’agence de placer les fonctionnaires travaillant sur les programmes DEI au sein du gouvernement fédéral en congé administratif payé et a ordonné la fermeture de leurs bureaux.
La Maison Blanche a ordonné à tous les travailleurs fédéraux de la DEI de partir en congé avant 17 heures (22h00 GMT) mercredi, lorsque les bureaux et les programmes en question ont été fermés.
Trump a également exhorté les employés fédéraux à s’informer les uns les autres et leurs départements de toute tentative de maintenir les programmes opérationnels mais cachés. Cette décision s’appuie sur un décret présidentiel dans lequel il a ordonné de mettre fin à ce qu’il a qualifié de programmes DEI du gouvernement fédéral « radicaux et inutiles ».
On estime que les entreprises américaines dépensent environ 8 milliards de dollars par an pour de telles initiatives d’investissement.
Qu’a dit Trump sur la DEI ?
Trump s’est directement adressé au programme lors de son discours d’investiture : « Cette semaine, je mettrai également fin à la politique gouvernementale qui consiste à essayer d’intégrer socialement la race et le genre dans tous les aspects de la vie publique et privée. Nous forgerons une société qui ne tient pas compte de la couleur de peau et qui est basée sur le mérite.
Quelle a été la réponse à la campagne anti-DEI de Trump ?
Après la victoire électorale de Trump, plusieurs entreprises de premier plan ont commencé à revenir sur leurs initiatives en matière de DEI. Parmi eux figuraient Walmart, McDonald’s, Amazon et Meta.
Pourtant, certaines entreprises, dont Costco et Microsoft, vont de l’avant avec leurs programmes d’équité raciale et de genre pour le moment.
Les groupes de défense des droits civils et des droits de l’homme ont promis de contester agressivement le décret de Trump.
Les défenseurs de la diversité, de l’équité et de l’inclusion, ou DEI, critiquent le président américain Donald Trump pour avoir mis fin aux programmes gouvernementaux de diversité par décret cette semaine, et font pression sur le secteur privé pour qu’il fasse de même
Début de la répression de l’immigration par Trump
La répression de l’immigration par Trump est en cours. Le secrétaire à la Défense par intérim, Robert Salesses, a ordonné mercredi le déploiement de 1 500 membres du personnel au sol à la frontière avec le Mexique.
Le Congrès a également adopté un projet de loi exigeant que les immigrants sans papiers arrêtés pour vol ou crimes violents soient emprisonnés dans l’attente de leur procès.
Le projet de loi, nommé en l’honneur de Laken Riley, une étudiante en soins infirmiers de Géorgie qui a été assassinée l’année dernière par un Vénézuélien, sera ensuite présenté à la Maison-Blanche pour être promulgué.
Qu’a dit Trump sur l’immigration ?
« Toutes les entrées illégales seront immédiatement arrêtées et nous commencerons le processus de retour de millions et de millions d’étrangers criminels dans les lieux d’où ils viennent », a déclaré Trump dans son discours d’investiture.
Quelle a été la réponse à la répression de Trump contre l’immigration ?
La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum a déclaré que les pourparlers sur l’immigration avaient commencé entre le Mexique et les États-Unis.
Selon un rapport de Bloomberg News, le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, a rencontré son homologue américain, Marco Rubio, et a déclaré aux journalistes que l’Inde était ouverte au retour légal des immigrants indiens sans papiers. Les Indiens constituent le troisième plus grand groupe d’immigrants sans papiers aux États-Unis, selon les données du Pew Research Center.
Première interview depuis son retour à la Maison Blanche
Trump a accordé sa première interview depuis son retour à la Maison Blanche à Fox News, abordant une série de sujets. Voici quelques-uns des faits saillants :
- Immigration : Trump a déclaré à Sean Hannity de Fox News que « des prisons du monde entier ont été vidées dans notre pays par [ancien président Joe] Biden a permis que cela se produise. Je ne sais même pas s’il savait ce qui se passait, mais qui voudrait ça ?
- Sur TikTok : Trump a déclaré que TikTok pourrait rester en place malgré une loi signée par Biden interdisant la plate-forme de médias sociaux appartenant à des Chinois depuis dimanche, craignant que l’entreprise ne représente une menace pour la sécurité nationale. Trump a minimisé les perspectives du gouvernement chinois d’utiliser les données personnelles des Américains sur l’application. « Ils fabriquent vos téléphones et ils fabriquent vos ordinateurs et ils fabriquent beaucoup d’autres choses. N’est-ce pas une menace plus grande ? » a demandé Trump.
- Pardons pour les émeutes du 6 janvier : Répondant à des questions sur le pardon de ses partisans qui ont violemment tenté d’annuler sa défaite électorale de 2020 le 6 janvier 2021 au Capitole des États-Unis, Trump a maintenu sa décision en déclarant : « J’ai dit que j’allais les libérer et probablement très rapidement, et ils ont voté pour moi. J’ai gagné haut la main.
Autres choses que vous avez peut-être manquées :
- Gaza : Mercredi, l’envoyé de Trump au Moyen-Orient, Steve Witkoff, a déclaré qu’il se rendrait à Gaza dans les prochains jours dans le cadre de ce qu’il a appelé une « équipe d’inspection » pour surveiller le cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas la semaine dernière.
- Russie : Trump a menacé d’imposer « des niveaux élevés de taxes, de droits de douane et de sanctions sur tout ce qui est vendu par la Russie aux États-Unis » si Moscou ne parvenait pas à conclure un « accord » pour mettre fin à la guerre en Ukraine. « Installez-vous maintenant et arrêtez cette guerre ridicule », a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social, s’adressant au président russe Vladimir Poutine. « Cela ne fera qu’empirer. »
- Sean Curran, vétéran des services secrets : Trump a nommé Curran à la tête des services secrets américains, l’agence qui protège les présidents actuels et anciens et leurs familles. Curran faisait partie des agents qui se sont précipités à l’aide de Trump après qu’il ait reçu une balle dans l’oreille lors d’une tentative d’assassinat ratée lors d’un rassemblement de campagne en juillet à Butler, en Pennsylvanie.
Avant de partir, vous pouvez trouver notre liste de toutes les mesures exécutives prises par Trump le premier jour de son mandat ici.
Voici un tour d’horizon des dernières mises à jour et de tout ce que vous devez savoir pour naviguer dans le deuxième mandat de Trump :
Tous les regards sont tournés vers la DEI :
Les programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI) font face à une opposition croissante à travers les États-Unis et ont été placés sous surveillance officielle au sein du gouvernement fédéral.
Adoptés dans les années 1960 et intensifiés à la suite des manifestations à travers les États-Unis après le meurtre en 2020 de George Floyd, un homme noir non armé tué par la police à Minneapolis, ces programmes visent à faire en sorte que les femmes et les groupes minoritaires ne subissent pas de discrimination sur le lieu de travail et qu’ils aient la possibilité d’obtenir des emplois et des promotions.
Mais cela est sur le point de changer. Mercredi, Trump a ordonné aux chefs d’agence de placer les fonctionnaires travaillant sur les programmes DEI au sein du gouvernement fédéral en congé administratif payé et a ordonné la fermeture de leurs bureaux.
La Maison Blanche a ordonné à tous les travailleurs fédéraux de la DEI de partir en congé avant 17 heures (22h00 GMT) mercredi, lorsque les bureaux et les programmes en question ont été fermés.
Trump a également exhorté les employés fédéraux à s’informer les uns les autres et leurs départements de toute tentative de maintenir les programmes opérationnels mais cachés. Cette décision s’appuie sur un décret présidentiel dans lequel il a ordonné de mettre fin à ce qu’il a qualifié de programmes DEI du gouvernement fédéral « radicaux et inutiles ».
On estime que les entreprises américaines dépensent environ 8 milliards de dollars par an pour de telles initiatives d’investissement.
Qu’a dit Trump sur la DEI ?
Trump s’est directement adressé au programme lors de son discours d’investiture : « Cette semaine, je mettrai également fin à la politique gouvernementale qui consiste à essayer d’intégrer socialement la race et le genre dans tous les aspects de la vie publique et privée. Nous forgerons une société qui ne tient pas compte de la couleur de peau et qui est basée sur le mérite.
Quelle a été la réponse à la campagne anti-DEI de Trump ?
Après la victoire électorale de Trump, plusieurs entreprises de premier plan ont commencé à revenir sur leurs initiatives en matière de DEI. Parmi eux figuraient Walmart, McDonald’s, Amazon et Meta.
Pourtant, certaines entreprises, dont Costco et Microsoft, vont de l’avant avec leurs programmes d’équité raciale et de genre pour le moment.
Les groupes de défense des droits civils et des droits de l’homme ont promis de contester agressivement le décret de Trump.
Les défenseurs de la diversité, de l’équité et de l’inclusion, ou DEI, critiquent le président américain Donald Trump pour avoir mis fin aux programmes gouvernementaux de diversité par décret cette semaine, et font pression sur le secteur privé pour qu’il fasse de même
Début de la répression de l’immigration par Trump
La répression de l’immigration par Trump est en cours. Le secrétaire à la Défense par intérim, Robert Salesses, a ordonné mercredi le déploiement de 1 500 membres du personnel au sol à la frontière avec le Mexique.
Le Congrès a également adopté un projet de loi exigeant que les immigrants sans papiers arrêtés pour vol ou crimes violents soient emprisonnés dans l’attente de leur procès.
Le projet de loi, nommé en l’honneur de Laken Riley, une étudiante en soins infirmiers de Géorgie qui a été assassinée l’année dernière par un Vénézuélien, sera ensuite présenté à la Maison-Blanche pour être promulgué.
Qu’a dit Trump sur l’immigration ?
« Toutes les entrées illégales seront immédiatement arrêtées et nous commencerons le processus de retour de millions et de millions d’étrangers criminels dans les lieux d’où ils viennent », a déclaré Trump dans son discours d’investiture.
Quelle a été la réponse à la répression de Trump contre l’immigration ?
La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum a déclaré que les pourparlers sur l’immigration avaient commencé entre le Mexique et les États-Unis.
Selon un rapport de Bloomberg News, le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, a rencontré son homologue américain, Marco Rubio, et a déclaré aux journalistes que l’Inde était ouverte au retour légal des immigrants indiens sans papiers. Les Indiens constituent le troisième plus grand groupe d’immigrants sans papiers aux États-Unis, selon les données du Pew Research Center.
Première interview depuis son retour à la Maison Blanche
Trump a accordé sa première interview depuis son retour à la Maison Blanche à Fox News, abordant une série de sujets. Voici quelques-uns des faits saillants :
- Immigration : Trump a déclaré à Sean Hannity de Fox News que « des prisons du monde entier ont été vidées dans notre pays par [ancien président Joe] Biden a permis que cela se produise. Je ne sais même pas s’il savait ce qui se passait, mais qui voudrait ça ?
- Sur TikTok : Trump a déclaré que TikTok pourrait rester en place malgré une loi signée par Biden interdisant la plate-forme de médias sociaux appartenant à des Chinois depuis dimanche, craignant que l’entreprise ne représente une menace pour la sécurité nationale. Trump a minimisé les perspectives du gouvernement chinois d’utiliser les données personnelles des Américains sur l’application. « Ils fabriquent vos téléphones et ils fabriquent vos ordinateurs et ils fabriquent beaucoup d’autres choses. N’est-ce pas une menace plus grande ? » a demandé Trump.
- Pardons pour les émeutes du 6 janvier : Répondant à des questions sur le pardon de ses partisans qui ont violemment tenté d’annuler sa défaite électorale de 2020 le 6 janvier 2021 au Capitole des États-Unis, Trump a maintenu sa décision en déclarant : « J’ai dit que j’allais les libérer et probablement très rapidement, et ils ont voté pour moi. J’ai gagné haut la main.
Autres choses que vous avez peut-être manquées :
- Gaza : Mercredi, l’envoyé de Trump au Moyen-Orient, Steve Witkoff, a déclaré qu’il se rendrait à Gaza dans les prochains jours dans le cadre de ce qu’il a appelé une « équipe d’inspection » pour surveiller le cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas la semaine dernière.
- Russie : Trump a menacé d’imposer « des niveaux élevés de taxes, de droits de douane et de sanctions sur tout ce qui est vendu par la Russie aux États-Unis » si Moscou ne parvenait pas à conclure un « accord » pour mettre fin à la guerre en Ukraine. « Installez-vous maintenant et arrêtez cette guerre ridicule », a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social, s’adressant au président russe Vladimir Poutine. « Cela ne fera qu’empirer. »
- Sean Curran, vétéran des services secrets : Trump a nommé Curran à la tête des services secrets américains, l’agence qui protège les présidents actuels et anciens et leurs familles. Curran faisait partie des agents qui se sont précipités à l’aide de Trump après qu’il ait reçu une balle dans l’oreille lors d’une tentative d’assassinat ratée lors d’un rassemblement de campagne en juillet à Butler, en Pennsylvanie.
Avant de partir, vous pouvez trouver notre liste de toutes les mesures exécutives prises par Trump le premier jour de son mandat ici.
Voici un tour d’horizon des dernières mises à jour et de tout ce que vous devez savoir pour naviguer dans le deuxième mandat de Trump :
Tous les regards sont tournés vers la DEI :
Les programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI) font face à une opposition croissante à travers les États-Unis et ont été placés sous surveillance officielle au sein du gouvernement fédéral.
Adoptés dans les années 1960 et intensifiés à la suite des manifestations à travers les États-Unis après le meurtre en 2020 de George Floyd, un homme noir non armé tué par la police à Minneapolis, ces programmes visent à faire en sorte que les femmes et les groupes minoritaires ne subissent pas de discrimination sur le lieu de travail et qu’ils aient la possibilité d’obtenir des emplois et des promotions.
Mais cela est sur le point de changer. Mercredi, Trump a ordonné aux chefs d’agence de placer les fonctionnaires travaillant sur les programmes DEI au sein du gouvernement fédéral en congé administratif payé et a ordonné la fermeture de leurs bureaux.
La Maison Blanche a ordonné à tous les travailleurs fédéraux de la DEI de partir en congé avant 17 heures (22h00 GMT) mercredi, lorsque les bureaux et les programmes en question ont été fermés.
Trump a également exhorté les employés fédéraux à s’informer les uns les autres et leurs départements de toute tentative de maintenir les programmes opérationnels mais cachés. Cette décision s’appuie sur un décret présidentiel dans lequel il a ordonné de mettre fin à ce qu’il a qualifié de programmes DEI du gouvernement fédéral « radicaux et inutiles ».
On estime que les entreprises américaines dépensent environ 8 milliards de dollars par an pour de telles initiatives d’investissement.
Qu’a dit Trump sur la DEI ?
Trump s’est directement adressé au programme lors de son discours d’investiture : « Cette semaine, je mettrai également fin à la politique gouvernementale qui consiste à essayer d’intégrer socialement la race et le genre dans tous les aspects de la vie publique et privée. Nous forgerons une société qui ne tient pas compte de la couleur de peau et qui est basée sur le mérite.
Quelle a été la réponse à la campagne anti-DEI de Trump ?
Après la victoire électorale de Trump, plusieurs entreprises de premier plan ont commencé à revenir sur leurs initiatives en matière de DEI. Parmi eux figuraient Walmart, McDonald’s, Amazon et Meta.
Pourtant, certaines entreprises, dont Costco et Microsoft, vont de l’avant avec leurs programmes d’équité raciale et de genre pour le moment.
Les groupes de défense des droits civils et des droits de l’homme ont promis de contester agressivement le décret de Trump.
Les défenseurs de la diversité, de l’équité et de l’inclusion, ou DEI, critiquent le président américain Donald Trump pour avoir mis fin aux programmes gouvernementaux de diversité par décret cette semaine, et font pression sur le secteur privé pour qu’il fasse de même
Début de la répression de l’immigration par Trump
La répression de l’immigration par Trump est en cours. Le secrétaire à la Défense par intérim, Robert Salesses, a ordonné mercredi le déploiement de 1 500 membres du personnel au sol à la frontière avec le Mexique.
Le Congrès a également adopté un projet de loi exigeant que les immigrants sans papiers arrêtés pour vol ou crimes violents soient emprisonnés dans l’attente de leur procès.
Le projet de loi, nommé en l’honneur de Laken Riley, une étudiante en soins infirmiers de Géorgie qui a été assassinée l’année dernière par un Vénézuélien, sera ensuite présenté à la Maison-Blanche pour être promulgué.
Qu’a dit Trump sur l’immigration ?
« Toutes les entrées illégales seront immédiatement arrêtées et nous commencerons le processus de retour de millions et de millions d’étrangers criminels dans les lieux d’où ils viennent », a déclaré Trump dans son discours d’investiture.
Quelle a été la réponse à la répression de Trump contre l’immigration ?
La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum a déclaré que les pourparlers sur l’immigration avaient commencé entre le Mexique et les États-Unis.
Selon un rapport de Bloomberg News, le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, a rencontré son homologue américain, Marco Rubio, et a déclaré aux journalistes que l’Inde était ouverte au retour légal des immigrants indiens sans papiers. Les Indiens constituent le troisième plus grand groupe d’immigrants sans papiers aux États-Unis, selon les données du Pew Research Center.
Première interview depuis son retour à la Maison Blanche
Trump a accordé sa première interview depuis son retour à la Maison Blanche à Fox News, abordant une série de sujets. Voici quelques-uns des faits saillants :
- Immigration : Trump a déclaré à Sean Hannity de Fox News que « des prisons du monde entier ont été vidées dans notre pays par [ancien président Joe] Biden a permis que cela se produise. Je ne sais même pas s’il savait ce qui se passait, mais qui voudrait ça ?
- Sur TikTok : Trump a déclaré que TikTok pourrait rester en place malgré une loi signée par Biden interdisant la plate-forme de médias sociaux appartenant à des Chinois depuis dimanche, craignant que l’entreprise ne représente une menace pour la sécurité nationale. Trump a minimisé les perspectives du gouvernement chinois d’utiliser les données personnelles des Américains sur l’application. « Ils fabriquent vos téléphones et ils fabriquent vos ordinateurs et ils fabriquent beaucoup d’autres choses. N’est-ce pas une menace plus grande ? » a demandé Trump.
- Pardons pour les émeutes du 6 janvier : Répondant à des questions sur le pardon de ses partisans qui ont violemment tenté d’annuler sa défaite électorale de 2020 le 6 janvier 2021 au Capitole des États-Unis, Trump a maintenu sa décision en déclarant : « J’ai dit que j’allais les libérer et probablement très rapidement, et ils ont voté pour moi. J’ai gagné haut la main.
Autres choses que vous avez peut-être manquées :
- Gaza : Mercredi, l’envoyé de Trump au Moyen-Orient, Steve Witkoff, a déclaré qu’il se rendrait à Gaza dans les prochains jours dans le cadre de ce qu’il a appelé une « équipe d’inspection » pour surveiller le cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas la semaine dernière.
- Russie : Trump a menacé d’imposer « des niveaux élevés de taxes, de droits de douane et de sanctions sur tout ce qui est vendu par la Russie aux États-Unis » si Moscou ne parvenait pas à conclure un « accord » pour mettre fin à la guerre en Ukraine. « Installez-vous maintenant et arrêtez cette guerre ridicule », a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social, s’adressant au président russe Vladimir Poutine. « Cela ne fera qu’empirer. »
- Sean Curran, vétéran des services secrets : Trump a nommé Curran à la tête des services secrets américains, l’agence qui protège les présidents actuels et anciens et leurs familles. Curran faisait partie des agents qui se sont précipités à l’aide de Trump après qu’il ait reçu une balle dans l’oreille lors d’une tentative d’assassinat ratée lors d’un rassemblement de campagne en juillet à Butler, en Pennsylvanie.
Avant de partir, vous pouvez trouver notre liste de toutes les mesures exécutives prises par Trump le premier jour de son mandat ici.
Voici un tour d’horizon des dernières mises à jour et de tout ce que vous devez savoir pour naviguer dans le deuxième mandat de Trump :
Tous les regards sont tournés vers la DEI :
Les programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI) font face à une opposition croissante à travers les États-Unis et ont été placés sous surveillance officielle au sein du gouvernement fédéral.
Adoptés dans les années 1960 et intensifiés à la suite des manifestations à travers les États-Unis après le meurtre en 2020 de George Floyd, un homme noir non armé tué par la police à Minneapolis, ces programmes visent à faire en sorte que les femmes et les groupes minoritaires ne subissent pas de discrimination sur le lieu de travail et qu’ils aient la possibilité d’obtenir des emplois et des promotions.
Mais cela est sur le point de changer. Mercredi, Trump a ordonné aux chefs d’agence de placer les fonctionnaires travaillant sur les programmes DEI au sein du gouvernement fédéral en congé administratif payé et a ordonné la fermeture de leurs bureaux.
La Maison Blanche a ordonné à tous les travailleurs fédéraux de la DEI de partir en congé avant 17 heures (22h00 GMT) mercredi, lorsque les bureaux et les programmes en question ont été fermés.
Trump a également exhorté les employés fédéraux à s’informer les uns les autres et leurs départements de toute tentative de maintenir les programmes opérationnels mais cachés. Cette décision s’appuie sur un décret présidentiel dans lequel il a ordonné de mettre fin à ce qu’il a qualifié de programmes DEI du gouvernement fédéral « radicaux et inutiles ».
On estime que les entreprises américaines dépensent environ 8 milliards de dollars par an pour de telles initiatives d’investissement.
Qu’a dit Trump sur la DEI ?
Trump s’est directement adressé au programme lors de son discours d’investiture : « Cette semaine, je mettrai également fin à la politique gouvernementale qui consiste à essayer d’intégrer socialement la race et le genre dans tous les aspects de la vie publique et privée. Nous forgerons une société qui ne tient pas compte de la couleur de peau et qui est basée sur le mérite.
Quelle a été la réponse à la campagne anti-DEI de Trump ?
Après la victoire électorale de Trump, plusieurs entreprises de premier plan ont commencé à revenir sur leurs initiatives en matière de DEI. Parmi eux figuraient Walmart, McDonald’s, Amazon et Meta.
Pourtant, certaines entreprises, dont Costco et Microsoft, vont de l’avant avec leurs programmes d’équité raciale et de genre pour le moment.
Les groupes de défense des droits civils et des droits de l’homme ont promis de contester agressivement le décret de Trump.
Les défenseurs de la diversité, de l’équité et de l’inclusion, ou DEI, critiquent le président américain Donald Trump pour avoir mis fin aux programmes gouvernementaux de diversité par décret cette semaine, et font pression sur le secteur privé pour qu’il fasse de même
Début de la répression de l’immigration par Trump
La répression de l’immigration par Trump est en cours. Le secrétaire à la Défense par intérim, Robert Salesses, a ordonné mercredi le déploiement de 1 500 membres du personnel au sol à la frontière avec le Mexique.
Le Congrès a également adopté un projet de loi exigeant que les immigrants sans papiers arrêtés pour vol ou crimes violents soient emprisonnés dans l’attente de leur procès.
Le projet de loi, nommé en l’honneur de Laken Riley, une étudiante en soins infirmiers de Géorgie qui a été assassinée l’année dernière par un Vénézuélien, sera ensuite présenté à la Maison-Blanche pour être promulgué.
Qu’a dit Trump sur l’immigration ?
« Toutes les entrées illégales seront immédiatement arrêtées et nous commencerons le processus de retour de millions et de millions d’étrangers criminels dans les lieux d’où ils viennent », a déclaré Trump dans son discours d’investiture.
Quelle a été la réponse à la répression de Trump contre l’immigration ?
La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum a déclaré que les pourparlers sur l’immigration avaient commencé entre le Mexique et les États-Unis.
Selon un rapport de Bloomberg News, le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, a rencontré son homologue américain, Marco Rubio, et a déclaré aux journalistes que l’Inde était ouverte au retour légal des immigrants indiens sans papiers. Les Indiens constituent le troisième plus grand groupe d’immigrants sans papiers aux États-Unis, selon les données du Pew Research Center.
Première interview depuis son retour à la Maison Blanche
Trump a accordé sa première interview depuis son retour à la Maison Blanche à Fox News, abordant une série de sujets. Voici quelques-uns des faits saillants :
- Immigration : Trump a déclaré à Sean Hannity de Fox News que « des prisons du monde entier ont été vidées dans notre pays par [ancien président Joe] Biden a permis que cela se produise. Je ne sais même pas s’il savait ce qui se passait, mais qui voudrait ça ?
- Sur TikTok : Trump a déclaré que TikTok pourrait rester en place malgré une loi signée par Biden interdisant la plate-forme de médias sociaux appartenant à des Chinois depuis dimanche, craignant que l’entreprise ne représente une menace pour la sécurité nationale. Trump a minimisé les perspectives du gouvernement chinois d’utiliser les données personnelles des Américains sur l’application. « Ils fabriquent vos téléphones et ils fabriquent vos ordinateurs et ils fabriquent beaucoup d’autres choses. N’est-ce pas une menace plus grande ? » a demandé Trump.
- Pardons pour les émeutes du 6 janvier : Répondant à des questions sur le pardon de ses partisans qui ont violemment tenté d’annuler sa défaite électorale de 2020 le 6 janvier 2021 au Capitole des États-Unis, Trump a maintenu sa décision en déclarant : « J’ai dit que j’allais les libérer et probablement très rapidement, et ils ont voté pour moi. J’ai gagné haut la main.
Autres choses que vous avez peut-être manquées :
- Gaza : Mercredi, l’envoyé de Trump au Moyen-Orient, Steve Witkoff, a déclaré qu’il se rendrait à Gaza dans les prochains jours dans le cadre de ce qu’il a appelé une « équipe d’inspection » pour surveiller le cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas la semaine dernière.
- Russie : Trump a menacé d’imposer « des niveaux élevés de taxes, de droits de douane et de sanctions sur tout ce qui est vendu par la Russie aux États-Unis » si Moscou ne parvenait pas à conclure un « accord » pour mettre fin à la guerre en Ukraine. « Installez-vous maintenant et arrêtez cette guerre ridicule », a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social, s’adressant au président russe Vladimir Poutine. « Cela ne fera qu’empirer. »
- Sean Curran, vétéran des services secrets : Trump a nommé Curran à la tête des services secrets américains, l’agence qui protège les présidents actuels et anciens et leurs familles. Curran faisait partie des agents qui se sont précipités à l’aide de Trump après qu’il ait reçu une balle dans l’oreille lors d’une tentative d’assassinat ratée lors d’un rassemblement de campagne en juillet à Butler, en Pennsylvanie.
Avant de partir, vous pouvez trouver notre liste de toutes les mesures exécutives prises par Trump le premier jour de son mandat ici.
