Depuis plus de vingt ans, le groupe textile californien construit un modèle de production responsable pour son denim, fondé sur la maîtrise de son geste, l’ancrage local et l’innovation textile.

Avec d’autres membres de la direction, Amy Williams a repris Citizens of Humanity en 2017, après le départ de son fondateur, Jérôme Dahan. CITIZENS OF HUMANITY
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Récit Depuis plus de vingt ans, le groupe textile californien construit un modèle de production responsable pour son denim, fondé sur la maîtrise de son geste, l’ancrage local et l’innovation textile.
Dans le quartier historique de Downtown Los Angeles, l’usine fait presque figure d’ovni. Non loin des hôtels arty et des repaires d’artistes, l’établissement est l’un des derniers survivants à faire perdurer le rêve du jean « made in USA ». C’est ici que le groupe Citizens of Humanity orchestre depuis 2012 toutes les étapes de la confection de son denim : tissage, coupe, couture, délavage, finition… Une organisation intégrée à contre-courant des logiques d’externalisation, quasi artisanale, qui lui permet de garder la main sur sa production. « Détenir notre propre usine, notre blanchisserie et notre centre logistique à Los Angeles nous offre un contrôle absolu et en temps réel sur notre éthique, la qualité de nos jeans et leur impact environnemental », confirme Amy Williams, la directrice générale du groupe.
Fondé en 2003 par Jérôme Dahan – également à l’origine des marques Lucky Brand et 7 For All Mankind – Citizens of Humanity s’est imposé sur le segment des jeans haut de gamme, avec des coupes précises, des matières qualitatives qui se patinent, à rebours d’un marché à la qualité en déclin. En 2014, le groupe a élargi son spectre de fondamentaux en relançant Agolde, un label initialement fondé en 1989. Pointue, nourrie de lignes modernes, de tissus innovants, la marque s’inspire des tendances actuelles tout en préservant ses racines.
Depuis plus de vingt ans, le groupe textile californien construit un modèle de production responsable pour son denim, fondé sur la maîtrise de son geste, l’ancrage local et l’innovation textile.

Avec d’autres membres de la direction, Amy Williams a repris Citizens of Humanity en 2017, après le départ de son fondateur, Jérôme Dahan. CITIZENS OF HUMANITY
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Récit Depuis plus de vingt ans, le groupe textile californien construit un modèle de production responsable pour son denim, fondé sur la maîtrise de son geste, l’ancrage local et l’innovation textile.
Dans le quartier historique de Downtown Los Angeles, l’usine fait presque figure d’ovni. Non loin des hôtels arty et des repaires d’artistes, l’établissement est l’un des derniers survivants à faire perdurer le rêve du jean « made in USA ». C’est ici que le groupe Citizens of Humanity orchestre depuis 2012 toutes les étapes de la confection de son denim : tissage, coupe, couture, délavage, finition… Une organisation intégrée à contre-courant des logiques d’externalisation, quasi artisanale, qui lui permet de garder la main sur sa production. « Détenir notre propre usine, notre blanchisserie et notre centre logistique à Los Angeles nous offre un contrôle absolu et en temps réel sur notre éthique, la qualité de nos jeans et leur impact environnemental », confirme Amy Williams, la directrice générale du groupe.
Fondé en 2003 par Jérôme Dahan – également à l’origine des marques Lucky Brand et 7 For All Mankind – Citizens of Humanity s’est imposé sur le segment des jeans haut de gamme, avec des coupes précises, des matières qualitatives qui se patinent, à rebours d’un marché à la qualité en déclin. En 2014, le groupe a élargi son spectre de fondamentaux en relançant Agolde, un label initialement fondé en 1989. Pointue, nourrie de lignes modernes, de tissus innovants, la marque s’inspire des tendances actuelles tout en préservant ses racines.
Depuis plus de vingt ans, le groupe textile californien construit un modèle de production responsable pour son denim, fondé sur la maîtrise de son geste, l’ancrage local et l’innovation textile.

Avec d’autres membres de la direction, Amy Williams a repris Citizens of Humanity en 2017, après le départ de son fondateur, Jérôme Dahan. CITIZENS OF HUMANITY
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Dans le quartier historique de Downtown Los Angeles, l’usine fait presque figure d’ovni. Non loin des hôtels arty et des repaires d’artistes, l’établissement est l’un des derniers survivants à faire perdurer le rêve du jean « made in USA ». C’est ici que le groupe Citizens of Humanity orchestre depuis 2012 toutes les étapes de la confection de son denim : tissage, coupe, couture, délavage, finition… Une organisation intégrée à contre-courant des logiques d’externalisation, quasi artisanale, qui lui permet de garder la main sur sa production. « Détenir notre propre usine, notre blanchisserie et notre centre logistique à Los Angeles nous offre un contrôle absolu et en temps réel sur notre éthique, la qualité de nos jeans et leur impact environnemental », confirme Amy Williams, la directrice générale du groupe.
Fondé en 2003 par Jérôme Dahan – également à l’origine des marques Lucky Brand et 7 For All Mankind – Citizens of Humanity s’est imposé sur le segment des jeans haut de gamme, avec des coupes précises, des matières qualitatives qui se patinent, à rebours d’un marché à la qualité en déclin. En 2014, le groupe a élargi son spectre de fondamentaux en relançant Agolde, un label initialement fondé en 1989. Pointue, nourrie de lignes modernes, de tissus innovants, la marque s’inspire des tendances actuelles tout en préservant ses racines.
Depuis plus de vingt ans, le groupe textile californien construit un modèle de production responsable pour son denim, fondé sur la maîtrise de son geste, l’ancrage local et l’innovation textile.

Avec d’autres membres de la direction, Amy Williams a repris Citizens of Humanity en 2017, après le départ de son fondateur, Jérôme Dahan. CITIZENS OF HUMANITY
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Dans le quartier historique de Downtown Los Angeles, l’usine fait presque figure d’ovni. Non loin des hôtels arty et des repaires d’artistes, l’établissement est l’un des derniers survivants à faire perdurer le rêve du jean « made in USA ». C’est ici que le groupe Citizens of Humanity orchestre depuis 2012 toutes les étapes de la confection de son denim : tissage, coupe, couture, délavage, finition… Une organisation intégrée à contre-courant des logiques d’externalisation, quasi artisanale, qui lui permet de garder la main sur sa production. « Détenir notre propre usine, notre blanchisserie et notre centre logistique à Los Angeles nous offre un contrôle absolu et en temps réel sur notre éthique, la qualité de nos jeans et leur impact environnemental », confirme Amy Williams, la directrice générale du groupe.
Fondé en 2003 par Jérôme Dahan – également à l’origine des marques Lucky Brand et 7 For All Mankind – Citizens of Humanity s’est imposé sur le segment des jeans haut de gamme, avec des coupes précises, des matières qualitatives qui se patinent, à rebours d’un marché à la qualité en déclin. En 2014, le groupe a élargi son spectre de fondamentaux en relançant Agolde, un label initialement fondé en 1989. Pointue, nourrie de lignes modernes, de tissus innovants, la marque s’inspire des tendances actuelles tout en préservant ses racines.