Dans cette sixième et dernière saison de la série culte de Bruce Miller, on retrouve une June plus vengeresse que jamais. Disponible sur Ciné+ OCS.
Elisabeth Moss dans « The Handmaid’s Tale ». MGM / DISNEY
Critique
Dans cette sixième et dernière saison de la série culte de Bruce Miller, on retrouve une June plus vengeresse que jamais. Disponible sur Ciné+ OCS.
Avouons-le d’emblée, après de saisissantes saisons, nous avions laissé de côté la création de Bruce Miller qui montrait un peu trop de complaisance à notre goût dans l’accumulation des épreuves physiques et morales qu’elle imposait à son personnage principal interprété par Elisabeth Moss. C’est une chose de dénoncer un régime fondamentaliste religieux tel que l’a brillamment inventé la romancière Margaret Atwood, c’en est une autre d’en faire un parc d’attractions placé sous le signe de la torture.
Pour la sixième et dernière saison, après de multiples rebondissements, nous revoici en territoire canadien, pays où fuient les derniers Américains ayant échappé à Gilead, la République instaurée par une secte politico-religieuse protestante, plus que jamais victimes de diatribes anti-migrants. Avec le récent retour de Trump au pouvoir, le téléspectateur ne décèle plus seulement à l’écran des références à l’actualité, il a littéralement l’impression d’observer le futur des Etats-Unis.
Le premier épisode se déroule dans un train où se retrouvent les deux ennemies d’hier, June la résistante (Elisabeth Moss) et Serena (Yvonne Strahovski), l’ex-cadre du régime désormais bannie, chacune avec leur enfant. Il renforce ce sentiment de course en avant entre réalité et fiction. Tout au long de la saison, chacune incarne une version de la lutte contre Gilead : à June la méthode forte, de l’extérieur, les armes à la main ; à Serena la méthode douce, politique, de l’intérieur de New Bethléem, une excroissance « mesurée » du régime.
Les fans et les curieux iront jusqu’au dénouement, les autres se lasseront de la surexploitation de l’intrigue initiale et des filtres jaunes omniprésents à l’image.
« The Handmaid’s Tale – Saison 6 », série américaine de Bruce Miller (2025). Avec Elisabeth Moss, Yvonne Strahovski, Bradley Whitford. 10 épisodes. Disponible sur Ciné+ OCS.
Dans cette sixième et dernière saison de la série culte de Bruce Miller, on retrouve une June plus vengeresse que jamais. Disponible sur Ciné+ OCS.
Elisabeth Moss dans « The Handmaid’s Tale ». MGM / DISNEY
Critique
Dans cette sixième et dernière saison de la série culte de Bruce Miller, on retrouve une June plus vengeresse que jamais. Disponible sur Ciné+ OCS.
Avouons-le d’emblée, après de saisissantes saisons, nous avions laissé de côté la création de Bruce Miller qui montrait un peu trop de complaisance à notre goût dans l’accumulation des épreuves physiques et morales qu’elle imposait à son personnage principal interprété par Elisabeth Moss. C’est une chose de dénoncer un régime fondamentaliste religieux tel que l’a brillamment inventé la romancière Margaret Atwood, c’en est une autre d’en faire un parc d’attractions placé sous le signe de la torture.
Pour la sixième et dernière saison, après de multiples rebondissements, nous revoici en territoire canadien, pays où fuient les derniers Américains ayant échappé à Gilead, la République instaurée par une secte politico-religieuse protestante, plus que jamais victimes de diatribes anti-migrants. Avec le récent retour de Trump au pouvoir, le téléspectateur ne décèle plus seulement à l’écran des références à l’actualité, il a littéralement l’impression d’observer le futur des Etats-Unis.
Le premier épisode se déroule dans un train où se retrouvent les deux ennemies d’hier, June la résistante (Elisabeth Moss) et Serena (Yvonne Strahovski), l’ex-cadre du régime désormais bannie, chacune avec leur enfant. Il renforce ce sentiment de course en avant entre réalité et fiction. Tout au long de la saison, chacune incarne une version de la lutte contre Gilead : à June la méthode forte, de l’extérieur, les armes à la main ; à Serena la méthode douce, politique, de l’intérieur de New Bethléem, une excroissance « mesurée » du régime.
Les fans et les curieux iront jusqu’au dénouement, les autres se lasseront de la surexploitation de l’intrigue initiale et des filtres jaunes omniprésents à l’image.
« The Handmaid’s Tale – Saison 6 », série américaine de Bruce Miller (2025). Avec Elisabeth Moss, Yvonne Strahovski, Bradley Whitford. 10 épisodes. Disponible sur Ciné+ OCS.
Dans cette sixième et dernière saison de la série culte de Bruce Miller, on retrouve une June plus vengeresse que jamais. Disponible sur Ciné+ OCS.
Elisabeth Moss dans « The Handmaid’s Tale ». MGM / DISNEY
Critique
Dans cette sixième et dernière saison de la série culte de Bruce Miller, on retrouve une June plus vengeresse que jamais. Disponible sur Ciné+ OCS.
Avouons-le d’emblée, après de saisissantes saisons, nous avions laissé de côté la création de Bruce Miller qui montrait un peu trop de complaisance à notre goût dans l’accumulation des épreuves physiques et morales qu’elle imposait à son personnage principal interprété par Elisabeth Moss. C’est une chose de dénoncer un régime fondamentaliste religieux tel que l’a brillamment inventé la romancière Margaret Atwood, c’en est une autre d’en faire un parc d’attractions placé sous le signe de la torture.
Pour la sixième et dernière saison, après de multiples rebondissements, nous revoici en territoire canadien, pays où fuient les derniers Américains ayant échappé à Gilead, la République instaurée par une secte politico-religieuse protestante, plus que jamais victimes de diatribes anti-migrants. Avec le récent retour de Trump au pouvoir, le téléspectateur ne décèle plus seulement à l’écran des références à l’actualité, il a littéralement l’impression d’observer le futur des Etats-Unis.
Le premier épisode se déroule dans un train où se retrouvent les deux ennemies d’hier, June la résistante (Elisabeth Moss) et Serena (Yvonne Strahovski), l’ex-cadre du régime désormais bannie, chacune avec leur enfant. Il renforce ce sentiment de course en avant entre réalité et fiction. Tout au long de la saison, chacune incarne une version de la lutte contre Gilead : à June la méthode forte, de l’extérieur, les armes à la main ; à Serena la méthode douce, politique, de l’intérieur de New Bethléem, une excroissance « mesurée » du régime.
Les fans et les curieux iront jusqu’au dénouement, les autres se lasseront de la surexploitation de l’intrigue initiale et des filtres jaunes omniprésents à l’image.
« The Handmaid’s Tale – Saison 6 », série américaine de Bruce Miller (2025). Avec Elisabeth Moss, Yvonne Strahovski, Bradley Whitford. 10 épisodes. Disponible sur Ciné+ OCS.
Dans cette sixième et dernière saison de la série culte de Bruce Miller, on retrouve une June plus vengeresse que jamais. Disponible sur Ciné+ OCS.
Elisabeth Moss dans « The Handmaid’s Tale ». MGM / DISNEY
Critique
Dans cette sixième et dernière saison de la série culte de Bruce Miller, on retrouve une June plus vengeresse que jamais. Disponible sur Ciné+ OCS.
Avouons-le d’emblée, après de saisissantes saisons, nous avions laissé de côté la création de Bruce Miller qui montrait un peu trop de complaisance à notre goût dans l’accumulation des épreuves physiques et morales qu’elle imposait à son personnage principal interprété par Elisabeth Moss. C’est une chose de dénoncer un régime fondamentaliste religieux tel que l’a brillamment inventé la romancière Margaret Atwood, c’en est une autre d’en faire un parc d’attractions placé sous le signe de la torture.
Pour la sixième et dernière saison, après de multiples rebondissements, nous revoici en territoire canadien, pays où fuient les derniers Américains ayant échappé à Gilead, la République instaurée par une secte politico-religieuse protestante, plus que jamais victimes de diatribes anti-migrants. Avec le récent retour de Trump au pouvoir, le téléspectateur ne décèle plus seulement à l’écran des références à l’actualité, il a littéralement l’impression d’observer le futur des Etats-Unis.
Le premier épisode se déroule dans un train où se retrouvent les deux ennemies d’hier, June la résistante (Elisabeth Moss) et Serena (Yvonne Strahovski), l’ex-cadre du régime désormais bannie, chacune avec leur enfant. Il renforce ce sentiment de course en avant entre réalité et fiction. Tout au long de la saison, chacune incarne une version de la lutte contre Gilead : à June la méthode forte, de l’extérieur, les armes à la main ; à Serena la méthode douce, politique, de l’intérieur de New Bethléem, une excroissance « mesurée » du régime.
Les fans et les curieux iront jusqu’au dénouement, les autres se lasseront de la surexploitation de l’intrigue initiale et des filtres jaunes omniprésents à l’image.
« The Handmaid’s Tale – Saison 6 », série américaine de Bruce Miller (2025). Avec Elisabeth Moss, Yvonne Strahovski, Bradley Whitford. 10 épisodes. Disponible sur Ciné+ OCS.