François Bayrou le 28 août 2025. THIBAUD MORITZ / AFP
Des travaux de rénovation de son bureau chiffrés à 40 000 euros, au moment où il demande aux Français des « efforts » budgétaires : la polémique est « insultante » et « dingue », a réagi François Bayrou, Premier ministre et maire de Pau, ce dimanche 31 août.
Dans un entretien pour « Sud-Ouest », il réagit en effet aux révélations de Mediapart concernant la rénovation de son bureau municipal. « Tout ceci est complètement dingue ! À l’hôtel de ville, on a refait tous les bureaux, toutes les salles de réunion, la salle des mariages, etc. Le seul bureau qui n’a pas été fait, parce que j’ai souhaité que les autres aient la priorité, c’est celui du maire. Un bureau qui a plus de trente ans et qui tombe en ruines », déclare le Premier ministre.
A lire aussi
L’intersyndicale propose une mobilisation le 18 septembre, « y compris par la grève et la manifestation »
Selon les chiffres transmis à l’AFP par la mairie de Pau, ces 40 000 euros correspondent à « la dernière phase de travaux très importants démarrés en 2017 ». L’hôtel de ville, bâtiment néoclassique du XIXe siècle inscrit aux Monuments historiques depuis 2017, a fait l’objet d’une « requalification des façades » et d’une modernisation de l’accueil et de plusieurs services.
Les travaux du bureau du maire consistent en une « réfection mineure », précise la mairie, qui souligne que leur montant ne représente que 0,88 % du chantier d’un coût total de 4,61 millions d’euros TTC.
Des attaques contre Mediapart
« Il y a des problèmes électriques importants, le plancher a été dissimulé sous du stratifié, il faut tout reprendre. […] Quand on a tout essayé pour abattre quelqu’un, on va chercher des choses dérisoires, et honteuses », justifie également François Bayrou.
En mai, le Premier ministre s’en était déjà pris à Mediapart, qui l’accuse depuis des mois de mensonge ou d’intervention auprès de la justice dans l’affaire des violences physiques et sexuelles au collège-lycée de Bétharram. « Je ne lis pas Mediapart, c’est une hygiène personnelle », avait alors déclaré le Premier ministre devant la commission d’enquête parlementaire créée après le scandale.
François Bayrou le 28 août 2025. THIBAUD MORITZ / AFP
Des travaux de rénovation de son bureau chiffrés à 40 000 euros, au moment où il demande aux Français des « efforts » budgétaires : la polémique est « insultante » et « dingue », a réagi François Bayrou, Premier ministre et maire de Pau, ce dimanche 31 août.
Dans un entretien pour « Sud-Ouest », il réagit en effet aux révélations de Mediapart concernant la rénovation de son bureau municipal. « Tout ceci est complètement dingue ! À l’hôtel de ville, on a refait tous les bureaux, toutes les salles de réunion, la salle des mariages, etc. Le seul bureau qui n’a pas été fait, parce que j’ai souhaité que les autres aient la priorité, c’est celui du maire. Un bureau qui a plus de trente ans et qui tombe en ruines », déclare le Premier ministre.
A lire aussi
L’intersyndicale propose une mobilisation le 18 septembre, « y compris par la grève et la manifestation »
Selon les chiffres transmis à l’AFP par la mairie de Pau, ces 40 000 euros correspondent à « la dernière phase de travaux très importants démarrés en 2017 ». L’hôtel de ville, bâtiment néoclassique du XIXe siècle inscrit aux Monuments historiques depuis 2017, a fait l’objet d’une « requalification des façades » et d’une modernisation de l’accueil et de plusieurs services.
Les travaux du bureau du maire consistent en une « réfection mineure », précise la mairie, qui souligne que leur montant ne représente que 0,88 % du chantier d’un coût total de 4,61 millions d’euros TTC.
Des attaques contre Mediapart
« Il y a des problèmes électriques importants, le plancher a été dissimulé sous du stratifié, il faut tout reprendre. […] Quand on a tout essayé pour abattre quelqu’un, on va chercher des choses dérisoires, et honteuses », justifie également François Bayrou.
En mai, le Premier ministre s’en était déjà pris à Mediapart, qui l’accuse depuis des mois de mensonge ou d’intervention auprès de la justice dans l’affaire des violences physiques et sexuelles au collège-lycée de Bétharram. « Je ne lis pas Mediapart, c’est une hygiène personnelle », avait alors déclaré le Premier ministre devant la commission d’enquête parlementaire créée après le scandale.
François Bayrou le 28 août 2025. THIBAUD MORITZ / AFP
Des travaux de rénovation de son bureau chiffrés à 40 000 euros, au moment où il demande aux Français des « efforts » budgétaires : la polémique est « insultante » et « dingue », a réagi François Bayrou, Premier ministre et maire de Pau, ce dimanche 31 août.
Dans un entretien pour « Sud-Ouest », il réagit en effet aux révélations de Mediapart concernant la rénovation de son bureau municipal. « Tout ceci est complètement dingue ! À l’hôtel de ville, on a refait tous les bureaux, toutes les salles de réunion, la salle des mariages, etc. Le seul bureau qui n’a pas été fait, parce que j’ai souhaité que les autres aient la priorité, c’est celui du maire. Un bureau qui a plus de trente ans et qui tombe en ruines », déclare le Premier ministre.
A lire aussi
L’intersyndicale propose une mobilisation le 18 septembre, « y compris par la grève et la manifestation »
Selon les chiffres transmis à l’AFP par la mairie de Pau, ces 40 000 euros correspondent à « la dernière phase de travaux très importants démarrés en 2017 ». L’hôtel de ville, bâtiment néoclassique du XIXe siècle inscrit aux Monuments historiques depuis 2017, a fait l’objet d’une « requalification des façades » et d’une modernisation de l’accueil et de plusieurs services.
Les travaux du bureau du maire consistent en une « réfection mineure », précise la mairie, qui souligne que leur montant ne représente que 0,88 % du chantier d’un coût total de 4,61 millions d’euros TTC.
Des attaques contre Mediapart
« Il y a des problèmes électriques importants, le plancher a été dissimulé sous du stratifié, il faut tout reprendre. […] Quand on a tout essayé pour abattre quelqu’un, on va chercher des choses dérisoires, et honteuses », justifie également François Bayrou.
En mai, le Premier ministre s’en était déjà pris à Mediapart, qui l’accuse depuis des mois de mensonge ou d’intervention auprès de la justice dans l’affaire des violences physiques et sexuelles au collège-lycée de Bétharram. « Je ne lis pas Mediapart, c’est une hygiène personnelle », avait alors déclaré le Premier ministre devant la commission d’enquête parlementaire créée après le scandale.
François Bayrou le 28 août 2025. THIBAUD MORITZ / AFP
Des travaux de rénovation de son bureau chiffrés à 40 000 euros, au moment où il demande aux Français des « efforts » budgétaires : la polémique est « insultante » et « dingue », a réagi François Bayrou, Premier ministre et maire de Pau, ce dimanche 31 août.
Dans un entretien pour « Sud-Ouest », il réagit en effet aux révélations de Mediapart concernant la rénovation de son bureau municipal. « Tout ceci est complètement dingue ! À l’hôtel de ville, on a refait tous les bureaux, toutes les salles de réunion, la salle des mariages, etc. Le seul bureau qui n’a pas été fait, parce que j’ai souhaité que les autres aient la priorité, c’est celui du maire. Un bureau qui a plus de trente ans et qui tombe en ruines », déclare le Premier ministre.
A lire aussi
L’intersyndicale propose une mobilisation le 18 septembre, « y compris par la grève et la manifestation »
Selon les chiffres transmis à l’AFP par la mairie de Pau, ces 40 000 euros correspondent à « la dernière phase de travaux très importants démarrés en 2017 ». L’hôtel de ville, bâtiment néoclassique du XIXe siècle inscrit aux Monuments historiques depuis 2017, a fait l’objet d’une « requalification des façades » et d’une modernisation de l’accueil et de plusieurs services.
Les travaux du bureau du maire consistent en une « réfection mineure », précise la mairie, qui souligne que leur montant ne représente que 0,88 % du chantier d’un coût total de 4,61 millions d’euros TTC.
Des attaques contre Mediapart
« Il y a des problèmes électriques importants, le plancher a été dissimulé sous du stratifié, il faut tout reprendre. […] Quand on a tout essayé pour abattre quelqu’un, on va chercher des choses dérisoires, et honteuses », justifie également François Bayrou.
En mai, le Premier ministre s’en était déjà pris à Mediapart, qui l’accuse depuis des mois de mensonge ou d’intervention auprès de la justice dans l’affaire des violences physiques et sexuelles au collège-lycée de Bétharram. « Je ne lis pas Mediapart, c’est une hygiène personnelle », avait alors déclaré le Premier ministre devant la commission d’enquête parlementaire créée après le scandale.