Au début du XXe siècle, deux orphelins irlandais débarquent aux Etats-Unis, en quête de leur oncle vivant à l’autre bout du pays.
Image extraite de « Buffao Kids », film d’animation de Juan Jesús García Galocha et Pedro Solís García.
ARP SÉLECTION
Au cours de cette transhumance aux infinies possibilités d’aventures et de dangers, ils croisent la route d’un garçonnet en fauteuil roulant atteint de paralysie cérébrale.
Personnage inhabituel (mais salutairement bienvenu) dans le registre trop rarement inclusif de l’animation pour enfants.
Les auteurs de la franchise « Tad l’explorateur » jouent une fois encore leur carte maîtresse : celle de l’hommage.
Avec moins de pastiches que d’ordinaire, mais franchement plus d’émotions.
Le film, au dessin trop sage et standardisé, pétille d’amour pour le western, revisité ici avec gourmandise tout en rectifiant les clichés (les Indiens ne sont pas les ennemis mais des alliés à l’immense sagesse culturelle).
Sans oublier une mise en scène trépidante (mention spéciale pour le final).
Au début du XXe siècle, deux orphelins irlandais débarquent aux Etats-Unis, en quête de leur oncle vivant à l’autre bout du pays.
Image extraite de « Buffao Kids », film d’animation de Juan Jesús García Galocha et Pedro Solís García.
ARP SÉLECTION
Au cours de cette transhumance aux infinies possibilités d’aventures et de dangers, ils croisent la route d’un garçonnet en fauteuil roulant atteint de paralysie cérébrale.
Personnage inhabituel (mais salutairement bienvenu) dans le registre trop rarement inclusif de l’animation pour enfants.
Les auteurs de la franchise « Tad l’explorateur » jouent une fois encore leur carte maîtresse : celle de l’hommage.
Avec moins de pastiches que d’ordinaire, mais franchement plus d’émotions.
Le film, au dessin trop sage et standardisé, pétille d’amour pour le western, revisité ici avec gourmandise tout en rectifiant les clichés (les Indiens ne sont pas les ennemis mais des alliés à l’immense sagesse culturelle).
Sans oublier une mise en scène trépidante (mention spéciale pour le final).
Au début du XXe siècle, deux orphelins irlandais débarquent aux Etats-Unis, en quête de leur oncle vivant à l’autre bout du pays.
Image extraite de « Buffao Kids », film d’animation de Juan Jesús García Galocha et Pedro Solís García.
ARP SÉLECTION
Au cours de cette transhumance aux infinies possibilités d’aventures et de dangers, ils croisent la route d’un garçonnet en fauteuil roulant atteint de paralysie cérébrale.
Personnage inhabituel (mais salutairement bienvenu) dans le registre trop rarement inclusif de l’animation pour enfants.
Les auteurs de la franchise « Tad l’explorateur » jouent une fois encore leur carte maîtresse : celle de l’hommage.
Avec moins de pastiches que d’ordinaire, mais franchement plus d’émotions.
Le film, au dessin trop sage et standardisé, pétille d’amour pour le western, revisité ici avec gourmandise tout en rectifiant les clichés (les Indiens ne sont pas les ennemis mais des alliés à l’immense sagesse culturelle).
Sans oublier une mise en scène trépidante (mention spéciale pour le final).
Au début du XXe siècle, deux orphelins irlandais débarquent aux Etats-Unis, en quête de leur oncle vivant à l’autre bout du pays.
Image extraite de « Buffao Kids », film d’animation de Juan Jesús García Galocha et Pedro Solís García.
ARP SÉLECTION
Au cours de cette transhumance aux infinies possibilités d’aventures et de dangers, ils croisent la route d’un garçonnet en fauteuil roulant atteint de paralysie cérébrale.
Personnage inhabituel (mais salutairement bienvenu) dans le registre trop rarement inclusif de l’animation pour enfants.
Les auteurs de la franchise « Tad l’explorateur » jouent une fois encore leur carte maîtresse : celle de l’hommage.
Avec moins de pastiches que d’ordinaire, mais franchement plus d’émotions.
Le film, au dessin trop sage et standardisé, pétille d’amour pour le western, revisité ici avec gourmandise tout en rectifiant les clichés (les Indiens ne sont pas les ennemis mais des alliés à l’immense sagesse culturelle).
Sans oublier une mise en scène trépidante (mention spéciale pour le final).