Sa voile noire s’affaisse sur sa coque blanche, couverte de fientes d’oiseaux. En ce début 2016, au port d’Honolulu (Hawaï), l’Hydroptère, un voilier à la silhouette de goéland, croupit sous le soleil du Pacifique. Depuis la terre ferme, un avocat américain en costume cravate constate son dépérissement. Il réclame 11 000 dollars d’arriérés de paiement à Alain Thébault, le skippeur qui l’a abandonné là. Mais Thébault s’est déjà envolé.
Ceux qui ont eu la chance de grimper sur ce bateau révolutionnaire parlent d’une sensation unique. L’impression de voler. Plus de 10 millions d’euros y ont été injectés. Douze ans après son lancement en 1994, l’Hydroptère manque d’être broyé. Dernière étape d’un parcours au départ rutilant.
Alain Thébault, 62 ans, a pour lui un indéniable talent de navigateur, mais cette aventure semble toucher à sa fin.
Sa voile noire s’affaisse sur sa coque blanche, couverte de fientes d’oiseaux. En ce début 2016, au port d’Honolulu (Hawaï), l’Hydroptère, un voilier à la silhouette de goéland, croupit sous le soleil du Pacifique. Depuis la terre ferme, un avocat américain en costume cravate constate son dépérissement. Il réclame 11 000 dollars d’arriérés de paiement à Alain Thébault, le skippeur qui l’a abandonné là. Mais Thébault s’est déjà envolé.
Ceux qui ont eu la chance de grimper sur ce bateau révolutionnaire parlent d’une sensation unique. L’impression de voler. Plus de 10 millions d’euros y ont été injectés. Douze ans après son lancement en 1994, l’Hydroptère manque d’être broyé. Dernière étape d’un parcours au départ rutilant.
Alain Thébault, 62 ans, a pour lui un indéniable talent de navigateur, mais cette aventure semble toucher à sa fin.
Sa voile noire s’affaisse sur sa coque blanche, couverte de fientes d’oiseaux. En ce début 2016, au port d’Honolulu (Hawaï), l’Hydroptère, un voilier à la silhouette de goéland, croupit sous le soleil du Pacifique. Depuis la terre ferme, un avocat américain en costume cravate constate son dépérissement. Il réclame 11 000 dollars d’arriérés de paiement à Alain Thébault, le skippeur qui l’a abandonné là. Mais Thébault s’est déjà envolé.
Ceux qui ont eu la chance de grimper sur ce bateau révolutionnaire parlent d’une sensation unique. L’impression de voler. Plus de 10 millions d’euros y ont été injectés. Douze ans après son lancement en 1994, l’Hydroptère manque d’être broyé. Dernière étape d’un parcours au départ rutilant.
Alain Thébault, 62 ans, a pour lui un indéniable talent de navigateur, mais cette aventure semble toucher à sa fin.
Sa voile noire s’affaisse sur sa coque blanche, couverte de fientes d’oiseaux. En ce début 2016, au port d’Honolulu (Hawaï), l’Hydroptère, un voilier à la silhouette de goéland, croupit sous le soleil du Pacifique. Depuis la terre ferme, un avocat américain en costume cravate constate son dépérissement. Il réclame 11 000 dollars d’arriérés de paiement à Alain Thébault, le skippeur qui l’a abandonné là. Mais Thébault s’est déjà envolé.
Ceux qui ont eu la chance de grimper sur ce bateau révolutionnaire parlent d’une sensation unique. L’impression de voler. Plus de 10 millions d’euros y ont été injectés. Douze ans après son lancement en 1994, l’Hydroptère manque d’être broyé. Dernière étape d’un parcours au départ rutilant.
Alain Thébault, 62 ans, a pour lui un indéniable talent de navigateur, mais cette aventure semble toucher à sa fin.