On le retrouve tel qu’il nous a laissés il y a neuf ans, lors de son dernier Tour de France ; orphelins du style Holtz, identifiable à la seule énergie de sa voix : passionné, généreux, pédagogue.
« J’ai un défaut : je veux absolument que les gens aiment ce que j’aime ! Donc j’en parle, je veux le faire découvrir. Quand j’ai créé Vélo Club en 1992, je voulais faire plaisir aux spécialistes et intéresser le grand public. » Vélo Club, sésame vers les étés de l’enfance.
Le plateau se recompose sous nos yeux. Première image : les coureurs, maillots bariolés, casquettes vissées sur la tête, assis en rang sur l’estrade, comme des élèves se préparent à la photo de classe. Des visages ressurgissent, des noms aussi. Fignon, Lemond, Jalabert, Casto, Polti, Carrera, Galibier, Alpe d’Huez, Armentièr…
On le retrouve tel qu’il nous a laissés il y a neuf ans, lors de son dernier Tour de France ; orphelins du style Holtz, identifiable à la seule énergie de sa voix : passionné, généreux, pédagogue.
« J’ai un défaut : je veux absolument que les gens aiment ce que j’aime ! Donc j’en parle, je veux le faire découvrir. Quand j’ai créé Vélo Club en 1992, je voulais faire plaisir aux spécialistes et intéresser le grand public. » Vélo Club, sésame vers les étés de l’enfance.
Le plateau se recompose sous nos yeux. Première image : les coureurs, maillots bariolés, casquettes vissées sur la tête, assis en rang sur l’estrade, comme des élèves se préparent à la photo de classe. Des visages ressurgissent, des noms aussi. Fignon, Lemond, Jalabert, Casto, Polti, Carrera, Galibier, Alpe d’Huez, Armentièr…
On le retrouve tel qu’il nous a laissés il y a neuf ans, lors de son dernier Tour de France ; orphelins du style Holtz, identifiable à la seule énergie de sa voix : passionné, généreux, pédagogue.
« J’ai un défaut : je veux absolument que les gens aiment ce que j’aime ! Donc j’en parle, je veux le faire découvrir. Quand j’ai créé Vélo Club en 1992, je voulais faire plaisir aux spécialistes et intéresser le grand public. » Vélo Club, sésame vers les étés de l’enfance.
Le plateau se recompose sous nos yeux. Première image : les coureurs, maillots bariolés, casquettes vissées sur la tête, assis en rang sur l’estrade, comme des élèves se préparent à la photo de classe. Des visages ressurgissent, des noms aussi. Fignon, Lemond, Jalabert, Casto, Polti, Carrera, Galibier, Alpe d’Huez, Armentièr…
On le retrouve tel qu’il nous a laissés il y a neuf ans, lors de son dernier Tour de France ; orphelins du style Holtz, identifiable à la seule énergie de sa voix : passionné, généreux, pédagogue.
« J’ai un défaut : je veux absolument que les gens aiment ce que j’aime ! Donc j’en parle, je veux le faire découvrir. Quand j’ai créé Vélo Club en 1992, je voulais faire plaisir aux spécialistes et intéresser le grand public. » Vélo Club, sésame vers les étés de l’enfance.
Le plateau se recompose sous nos yeux. Première image : les coureurs, maillots bariolés, casquettes vissées sur la tête, assis en rang sur l’estrade, comme des élèves se préparent à la photo de classe. Des visages ressurgissent, des noms aussi. Fignon, Lemond, Jalabert, Casto, Polti, Carrera, Galibier, Alpe d’Huez, Armentièr…