À 80 km/h, Franky Zapata s’attaque à la Manche avec son incroyable ‘Air Scooter’

Ce jour-là, sur la piste de décollage du quartier général de Franky Zapata, la pression monte d’un cran. Au programme : l’un des tout premiers vols de l’inventeur français aux commandes de son nouvel engin, le « Air Scooter ». « Je suis en train de voler. C’est fou. Je peux carrément parler, je suis détendu et il y a zéro contrainte physique », se réjouit-il dans le reportage du 20H de TF1, diffusé le 20 juin dernier, tout en survolant l’étang de Berre.

À près de 80 km/h et propulsé par des moteurs hybrides, Franky se promène. « J’ai envie de traverser l’étang et de partir me promener », réagit-il, un large sourire aux lèvres.

Après 15 minutes de vol, le pilote réussit un atterrissage en douceur. « Il progresse tout le temps. Il fait tout le temps des trucs de fou. Je suis trop content », réagit son fils Matt, pourtant habitué à voir son père voler avec des machines inédites. À peine a-t-il félicité son équipe que Franky Zapata reprend déjà le chemin de l’atelier.

Au cœur des préoccupations pour ce nouveau projet ? La consommation des moteurs mi-thermiques, mi-électriques. « Ça consomme à peu près 10 litres à l’heure », et « on va en moyenne à 80 km/h », indique Franky Zapata. Le Air Scooter, pesant moins de 115 kilos, est autorisé à voler aux États-Unis. « C’est vraiment très léger. Ça, ça fait 20 kilos », lance l’inventeur, manipulant la structure en carbone de l’appareil.

Chaque jour, les informaticiens doivent résoudre les équations posées par le patron. « Il court devant et on essaie de le suivre », explique Laurent Aulagnier, ingénieur électronique et informatique embarquée. « Quand on rentre dans cette boîte, on sait qu’il va falloir courir. Il a des milliards d’idées à la seconde et on essaie de concrétiser tout ça », poursuit-il dans le reportage de TF1.

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L’objectif de Franky Zapata ? Faire voler des clients aux États-Unis dès l’automne prochain. Pour cela, un simulateur a été mis au point pour former en une dizaine de minutes. En attendant, l’inventeur s’est lancé un autre défi : faire la traversée de la Manche avec son Air Scooter. Il doit décoller ce vendredi à la mi-journée de Sangatte, dans le Pas-de-Calais, jusqu’à Douvres, près de la pointe extrême sud-est de l’Angleterre.

Ce jour-là, sur la piste de décollage du quartier général de Franky Zapata, la pression monte d’un cran. Au programme : l’un des tout premiers vols de l’inventeur français aux commandes de son nouvel engin, le « Air Scooter ». « Je suis en train de voler. C’est fou. Je peux carrément parler, je suis détendu et il y a zéro contrainte physique », se réjouit-il dans le reportage du 20H de TF1, diffusé le 20 juin dernier, tout en survolant l’étang de Berre.

À près de 80 km/h et propulsé par des moteurs hybrides, Franky se promène. « J’ai envie de traverser l’étang et de partir me promener », réagit-il, un large sourire aux lèvres.

Après 15 minutes de vol, le pilote réussit un atterrissage en douceur. « Il progresse tout le temps. Il fait tout le temps des trucs de fou. Je suis trop content », réagit son fils Matt, pourtant habitué à voir son père voler avec des machines inédites. À peine a-t-il félicité son équipe que Franky Zapata reprend déjà le chemin de l’atelier.

Au cœur des préoccupations pour ce nouveau projet ? La consommation des moteurs mi-thermiques, mi-électriques. « Ça consomme à peu près 10 litres à l’heure », et « on va en moyenne à 80 km/h », indique Franky Zapata. Le Air Scooter, pesant moins de 115 kilos, est autorisé à voler aux États-Unis. « C’est vraiment très léger. Ça, ça fait 20 kilos », lance l’inventeur, manipulant la structure en carbone de l’appareil.

Chaque jour, les informaticiens doivent résoudre les équations posées par le patron. « Il court devant et on essaie de le suivre », explique Laurent Aulagnier, ingénieur électronique et informatique embarquée. « Quand on rentre dans cette boîte, on sait qu’il va falloir courir. Il a des milliards d’idées à la seconde et on essaie de concrétiser tout ça », poursuit-il dans le reportage de TF1.

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Ce jour-là, sur la piste de décollage du quartier général de Franky Zapata, la pression monte d’un cran. Au programme : l’un des tout premiers vols de l’inventeur français aux commandes de son nouvel engin, le « Air Scooter ». « Je suis en train de voler. C’est fou. Je peux carrément parler, je suis détendu et il y a zéro contrainte physique », se réjouit-il dans le reportage du 20H de TF1, diffusé le 20 juin dernier, tout en survolant l’étang de Berre.

À près de 80 km/h et propulsé par des moteurs hybrides, Franky se promène. « J’ai envie de traverser l’étang et de partir me promener », réagit-il, un large sourire aux lèvres.

Après 15 minutes de vol, le pilote réussit un atterrissage en douceur. « Il progresse tout le temps. Il fait tout le temps des trucs de fou. Je suis trop content », réagit son fils Matt, pourtant habitué à voir son père voler avec des machines inédites. À peine a-t-il félicité son équipe que Franky Zapata reprend déjà le chemin de l’atelier.

Au cœur des préoccupations pour ce nouveau projet ? La consommation des moteurs mi-thermiques, mi-électriques. « Ça consomme à peu près 10 litres à l’heure », et « on va en moyenne à 80 km/h », indique Franky Zapata. Le Air Scooter, pesant moins de 115 kilos, est autorisé à voler aux États-Unis. « C’est vraiment très léger. Ça, ça fait 20 kilos », lance l’inventeur, manipulant la structure en carbone de l’appareil.

Chaque jour, les informaticiens doivent résoudre les équations posées par le patron. « Il court devant et on essaie de le suivre », explique Laurent Aulagnier, ingénieur électronique et informatique embarquée. « Quand on rentre dans cette boîte, on sait qu’il va falloir courir. Il a des milliards d’idées à la seconde et on essaie de concrétiser tout ça », poursuit-il dans le reportage de TF1.

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Ce jour-là, sur la piste de décollage du quartier général de Franky Zapata, la pression monte d’un cran. Au programme : l’un des tout premiers vols de l’inventeur français aux commandes de son nouvel engin, le « Air Scooter ». « Je suis en train de voler. C’est fou. Je peux carrément parler, je suis détendu et il y a zéro contrainte physique », se réjouit-il dans le reportage du 20H de TF1, diffusé le 20 juin dernier, tout en survolant l’étang de Berre.

À près de 80 km/h et propulsé par des moteurs hybrides, Franky se promène. « J’ai envie de traverser l’étang et de partir me promener », réagit-il, un large sourire aux lèvres.

Après 15 minutes de vol, le pilote réussit un atterrissage en douceur. « Il progresse tout le temps. Il fait tout le temps des trucs de fou. Je suis trop content », réagit son fils Matt, pourtant habitué à voir son père voler avec des machines inédites. À peine a-t-il félicité son équipe que Franky Zapata reprend déjà le chemin de l’atelier.

Au cœur des préoccupations pour ce nouveau projet ? La consommation des moteurs mi-thermiques, mi-électriques. « Ça consomme à peu près 10 litres à l’heure », et « on va en moyenne à 80 km/h », indique Franky Zapata. Le Air Scooter, pesant moins de 115 kilos, est autorisé à voler aux États-Unis. « C’est vraiment très léger. Ça, ça fait 20 kilos », lance l’inventeur, manipulant la structure en carbone de l’appareil.

Chaque jour, les informaticiens doivent résoudre les équations posées par le patron. « Il court devant et on essaie de le suivre », explique Laurent Aulagnier, ingénieur électronique et informatique embarquée. « Quand on rentre dans cette boîte, on sait qu’il va falloir courir. Il a des milliards d’idées à la seconde et on essaie de concrétiser tout ça », poursuit-il dans le reportage de TF1.

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L’objectif de Franky Zapata ? Faire voler des clients aux États-Unis dès l’automne prochain. Pour cela, un simulateur a été mis au point pour former en une dizaine de minutes. En attendant, l’inventeur s’est lancé un autre défi : faire la traversée de la Manche avec son Air Scooter. Il doit décoller ce vendredi à la mi-journée de Sangatte, dans le Pas-de-Calais, jusqu’à Douvres, près de la pointe extrême sud-est de l’Angleterre.